Lire sur la route faisait partie de mes résolutions pour cette année 2011. On me l’avait offert à Noel dans cette édition originale et définitive parue l’année dernière et sous-titrée le rouleau original, parce que soit-disant Jack Kerouac l’aurait écrit sur un rouleau de papier de téléscripteur, et...“d’un jet” dit la légende...
L’auteur y narre ses années d’errance et d’aventure en compagnie de ses amis tous aussi barrés que lui (Neal Cassady en premier lieu, un fou de vitesse ainsi que Allen Ginsberg, le poète ou William Burroughs le drogué et tant d’autres). L’essentiel du roman se situe sur la route, évidemment, celle qui mène nos aventuriers de l’est de l’Amérique vers l’Ouest ou le contraire, de toute façon, le but étant le voyage, la destination finale n’est qu’une étape où le se retape à coup d’alcool et d’orgies. Certains même parfois s’installent, se marient, font des enfants mais ça ne dure jamais trop longtemps, l’appel de la route étant le plus fort. Tout celà se passe dans les années 50, on écoute du jazz et l’essence coûte pas cher (même pas un dollar le plein). Jack Kerouac écrit ce qui lui passe par la tête, sans théoriser...ce n’est que de la vraie vie.
Ce faisant, cette équipe de voyous (mais pas si méchants que ça), ne se doutait pas qu’elle était en train de poser les bases de la beat generation, un mouvement artistique prônant la liberté absolue, la liberté libre et dont ce roman de Kerouac peut être considéré comme l’oeuvre emblématique.
Alors, est-ce que j’ai aimé ? Et bien, il y a de bonnes séquences mais le tout est un peu répétitif. Trajets est-ouest, ouest-est en veux-tu en voilà, “à toutes blindes”. Et puis ne connaissant pas bien la géographie des Etats-Unis, il y a des moments où je ne savais plus du tout où l’action se situait. Mais le voyage ultime à l’intérieur du Mexique est fantasmagorique. Je reste sur une bonne impression et avec le sentiment du devoir accompli.
lecture du 27.04 au 24.05.2011
nrf, gallimard, 378 pages
traduit de l’américain par Josée Kamoun
note : 3.5/5
à suivre : la délicatesse, David Foenkinos
Colin sabre et tam-tam - Page 64
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CR206 : sur la route - Jack Kerouac
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Sur la route
Je suis toujours sur la route et ça dure un peu plus longtemps que prévu. C’est une lecture assez plaisante quoi que difficile (pas d’alinéas). L’affaire devrait être bouclée pour ce weekend.
Je crois en avoir parlé mais je prépare pour cet été une suite islandaise. J’ai un panier de prêt sur priceminister (avec entre autres Steinar Bragi, Einar Karason, Sjon...autant d’inconnus).
Tous les bloggers ont donné leur avis sur l’affaire dsk. Avant tout je voulais dire c’est un type pour qui j’ai de la sympathie. Bien qu’étant de droite (normal je suis ouvrier -), Il n’était pas exclu que je votasse pour lui en 2012. Mais sur l’affaire proprement dit, je le crois coupable. Il a fait une grosse connerie et va le payer cher. Mais comme tout le monde, j’ai été bouleversé par les images diffusées. Ça m’a même pas mal perturbé pendant deux jours.
Pour accompagner Jack Kerouac, Nean Cassady et Allen Ginsberg jusqu’au bout de la route américaine, quelques photos de Stephen Shore dont je ne cesse de questionner les clichés. Bon sang mais où va l’Amérique ?Loïc LT
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deux drôles chez la mère Poulard
Comme c’était la première fois que nous allions sur le Mont Saint-Michel et que lorsqu’on pense au Mont, on pense au restaurant la mère Poulard, je décidai en voiture, alors qu’au loin déjà se dessinait le fameux rocher que nous irions manger dans ce restaurant célèbre pour son omelette.
On arrive sur place, on se gare et l’on constate qu’il y a déjà un monde fou pour un vendredi banal de basse saison. Beaucoup de japonais, qui, dociles suivent leur guide qu’ils écoutent avec des oreillettes (si bien qu’ils ne peuvent sans doute pas parler entre eux mais ça ne semble pas les gêner). Ensuite, on commence la montée..des commerces à perte de vue, vendant tous la même chose. Des objets kitchissimes à souhait. En passant devant la mère Poulard, je note que le menu le moins cher est à 15€. Je réserve pour 4 à 13:30. On gravit la rue commerçante. Arrivé à l’abbaye, on rebrousse chemin (l’entrée de l’abbaye est payante). Les filles achètent des souvenirs.
On va déjeuner. A l’accueil, on peut voir en direct l’omelette se faire mais lorsqu’on rentre en salle, on se rend compte aussitôt, que cet endroit que bêtement je pensais être un resto populaire (peut-être à cause de son nom) est en fait un restaurant très guindé. Et puis, une fois assis, la garçon habillé comme il faut qui vient prendre la commande nous apprend que le menu à 15€ est le menu pour enfants. Ah. Avec Prisca, on tergiverse. Déjà, il n’y aura pas d’alcool puisque la bouteille la moins chère est à 40€ (et le simple verre à 10). Et on prend le menu le moins cher possible (ce qui au final nous fera une addition de 130..).
C’est sûr qu’on mange bien mais pour s’en sortir avec un petit 130, il faut prendre l’omelette simple avec rien dedans. Mais on rigole bien. Les filles, peu habituées à ce genre de restaurant ne savent pas se tenir. Lola fait une de ces têtes lorsque le garçon lui sert son poulet frites : l’assiette est étrangement arrangée, les frites (au nombre de six) sont par deux et en croix et le poulet est bien répartie dans l’assiette. Lola nous sort un “oh” et commence à prendre une frite avec ses doigts ! “T’es pas au MacDo ici”. Comprenant qu’elle va devoir se tenir, elle mange sans rien dire mais pour exprimer sa révolte, met ses lunettes de soleil et sa capuche sur la tête. La loulou détonne dans le restaurant. On est pris d’un fou rire avec Prisca ! Quant à Chloé, elle n’aime pas la viande mais vu le prix est prié de tout ingurgiter. Elle est curieuse et regarde autour d’elle sans indiscrétion.
Quant à nous deux, on se régale de l’omelette tout en se cherchant des excuses. “Ce n’est pas tous les jours qu’on va dans ce genre de restaurant”. “Au moins, on pourra dire qu’on a fait la mère Poulard” ou “on paiera avec les chèques vacances, s’ils les prennent”.
Alors que l’on a tous fini de déjeuner, la question est désormais de savoir comment on procède exactement pour le paiement ? Faut-il demander l’addition ou aller directement à la réception ? On attend un peu pour voir comment les autres tables procèdent . Mais le fait est que ça procède avec discrétion, avec tellement de discrétion qu’on dirait que les gens sortent sans payer. Finalement, on s’occupe de nous et l’on sort gauchement, repus et indiscrets !
On se souviendra de ce déjeuner chez la mère Poulard ! -
bambous 2011 # Semiarundinaria yashadake 'kimmei'
Bonjour,
je m’appelle Semiarundinaria yashadake 'kimmei'. Je suis né et j’ai grandi chez un pépiniériste de la région de Lorient. J’ai été adopté le 27 avril par un être humain répondant au prénom de Loïc. Après un voyage en voiture d’environ une demi-heure, je suis arrivé dans la propriété du monsieur où j’ai été accueilli par pas mal de petits cousins : des nigras, des bissetii, des vivax, des aurea, des fargesia, des sasa.
Mon maître ayant d’autres occupations, j’ai du patienter quelques jours dans mon pot trop étroit. Lorsque hier soir, je l’ai vu s’approcher de moi tout souriant et décidé, j’ai su que mon heure était venue. Je m’attendais à être planté en pleine terre mais en fait, il m’a juste offert un pot un peu plus grand. Alors j’étais peu déçu alors il m’a dit que si j’étais généreux et vigoureux, j’aurais le droit dans quelques années à voir mes rhizomes tracer dans cette terre bretonne qui me tend les bras. Je suis déçu mais je vais bien, d’autant que je vis dans une bonne terre, un mélange de compost “maison”, de terreau et de terre jardin. De plus, je suis arrosé régulièrement. Mon maître m’appelle Kimmei, “mon petit kimmei” même !
On dit de moi que je suis un bambou magnifique, que mon intérêt réside dans mes chaumes qui changent souvent de couleur, passant du vert, au jaune ou au rouge au gré des saisons. J’aurai l’occasion de lui démontrer tout ça . Sur ce, je vous laisse.
+++, kimmei.
ps : j’avais oublié de vous dire : un autre bambou a été adopté le même jour que moi, mais c’est un géant, je n’ai pas envie de vous en parler. Je ne veux pas qu’il me fasse d’ombre. -
CR205 : Dalva - Jim Harrison
Dalva, la narratrice est une américaine plutôt jolie et disposant dans ses veines d’un peu de sang indien. Elle est originaire du Nebraska où ses parents possèdent un ranch construit au XIXème siècle par Northridge, leur ancêtre yankee, (qui de par son union avec une indienne allait métisser toute sa descendance). Dalva raconte son enfance, les drames ayant affectées sa famille...et sa rencontre avec Duane, un indien pour qui elle a un coup de foudre...elle tombe enceinte mais trop jeune, on lui enlève son enfant. Elle n’aura de cesse de vouloir le retrouver.
Mais tout autant que la vie, ô combien trépidante de Dalva, qui est une femme libérée et qui mort la vie à pleine dent, il est question du peuple indien et du génocide dont il faut la victime. Michael, l’amant de Dalva, universitaire et alcoolique (comme quasiment tout le monde dans ce roman dans lequel on boit du cognac et du whisky comme de l’eau..mais Michael plus que les autres) demande la permission à Dalva de fouiller dans les archives de sa famille et notamment dans le journal de Northridge afin d’écrire une thèse sur la question indienne. De multiples pages de ce journal jalonnent le roman...mais il faut s’accrocher, on n’y comprend pas grand chose...surtout que par ailleurs, si le style est limpide (surtout les pages où Dalva s’exprime), l’auteur prend un malin plaisir à nous envoyer dans le passé sans crier gare, et même, à créer des flashbacks à l’intérieur de flashbacks...et puis de nouveaux personnages à peine présentés font tout à coup leur irruption et deviennent même essentiels..
C’est pour cette raison que j’ai mis du temps à achever Dalva. Le style fluide et très expressionniste (magnifique peinture des grands espaces) est gâchée par une construction trop complexe. Et puis, ça vient de moi aussi : tout comme dans le cinéma, je n’aime pas les flashbacks.
lecture du 05.04 au 25.04.2011
10/18, domaine étranger, 472 pages
traduit de l’américain par Brice Matthieussent
note : 2.5/5
à suivre : je réfléchis... -
bambous 2011 # visite à Crea'Paysage
En ce dimanche ensoleillé de printemps, nous sommes allés visiter une pépinière spécialisée dans le bambou. Crea'Paysage se situe à Ploemeur a environ 2kms de l'océan. J'y ai passé un agréable moment mais ce fut trop court vu que les filles n'avaient qu'une envie : aller à la plage. Mais bon, quand même, j'ai essayé d'optimiser la visite. La pépinière dispose d'une collection impressionnante et j'en avais des sueurs partout. Alors, était-il envisageable que je m'en aille les mains vides ? Hein ? Non. Alors voilà, Prisca m'a offert un Semiarundinaria yashadake 'kimmei', un plant que j'avais repéré et dont la particularité est de développer des chaumes aux couleurs variant en fonction des saisons. Bon, Prisca était un peu sceptique, parce que de visu comme ça, il ne ressemble pas à grand chose. Et puis, je me suis fait plaisir aussi en me portant acquéreur d'un phyllostachys vivax huangwenzhu, un bambou classé parmi les géants. On est sortis de là avec un portefeuille allégé de 100€. Maintenant, il ne me reste plus qu'à planter tout ça. Les deux monstres vivront dans un premier temps en pots. Et puis dans quelques années, je verrai. A ce rythme, il faudra que j'achète la prairie en face de chez moi...
La photo du milieu représente le phyllostachys vivax huangwenzhu à âge adulte. Sur la 3ème photo, c'est moi derrière un turion de je ne sais plus quel géant. Merci à Didier Fogaras, taulier des lieux et à toute son équipe !
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bambous 2011 # le phyllostachys nigra henonis
Au printemps 2010, j'ai acheté deux henonis, l'un à Leclerc, l'autre chez un pépiniériste allemand. N'ayant pas encore décidé de leurs emplacements, les deux futurs géants patientent dans une grande jardinière placée plein sud, juste devant la façade de la maison. Les premiers turions sont sortis début mars (je ne me souviens plus trop exactement, un bon bambouphile tient un carnet dans lequel il marque tout ça !). Prisca avait eu la bonne idée de les protéger avant l'hiver avec un paillis de feuilles broyées. Au final, jamais depuis que j'ai chopé le virus du bambou, je n'avais eu des turions pareils :
Trois semaines plus tard, les bébés ont grandi et aujourd"hui, le plus haut fait plus d'un mètre.
Et cette dernière photo date d'hier. C'est magnifique !
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bucolismes
J’ai pris cette photo ce soir depuis la baie vitrée (en alu, posée par la MDF et non par kiclos, boite qui a menacé de me poursuivre en justice parce que je n’avais été gentil avec eux sur ce blog). Si ça peut vous donner une idée de mon environnement. C’est grâce à cette vue ô combien bucolique que des idées lumineuses me viennent (sur ce blog et dans la vraie vie, car je côtoie des gens en vrai de temps en temps).
Je ne sais pas si on le voit bien sur la photo mais notre propriété s’arrête à peu près au niveau où se trouve les boeufs (on voit un piquet). J’ai l’intention de poser une clôture en bois (pas tout de suite parce qu’on n’a plus de sous) pour bien délimiter l’espace et puis aussi parce que parfois les bestiaux nous font peur. Le fil est électrifié mais parfois, il leur arrive de se mettre à gambader et dans ces cas-là, on se demande s’ils vont s’arrêter. Au début du printemps, il y avait encore 4 boeufs mais depuis, deux d’entre eux ont accompli leur funeste destin.
A droite, on distingue notre vieux pommier en fleurs, celui qui sert de parasol en été. Un auvent comme ça, ça n’a pas de prix. Derrière le pommier, il y a un arbre à muguet. Magnifique également.
Derrière s'étend la prairie couverte de pissenlits (qu’on ne distingue plus trop car ces bonnes herbes sont passés dans leur seconde phase , c’est à dire que les fleurs jaunes (les capitules) ont laissé place aux aigrettes, ces boules blanches sur lesquelles on soufflait quand on était petit). C’est sur cette grande prairie exploitée par un producteur de cidre du village que très souvent nous voyons paître des chevreuils. En général, ils sont en binome et sont très méfiants.
Au fond, le bosquet a revêtu ses couleurs printanières. Cela nous donne un joli dégradé de vert. Il nous manque juste le son d’une petite rivière.
Quand il fait vraiment chaud, on installe les bains de soleil sur les chaises longues. Et là, c’est le paradis sur Terre. Ce fut le cas samedi dernier. Le mercure était monté à 25° et il n’y avait pas un souffle de vent. Pendant que les filles redécouvraient les joies du hamac (fixé entre le tronc du pommier et un poteau de fil à linge), nous nous sommes prélassés pendant deux heures. Le soleil frappait fort mais pas trop. Des bourdons butinaient les fleurs du pommier. Un coucou chantait du haut de son nid perché dans les immenses thuyas de la propriété voisine. Des papillons jaunes et blancs voltigeaient au milieu des bambous. Prisca et moi, nous sommes endormis et on était tellement bien qu’on avait l’impression de faire le même rêve. Ensuite, on s’est réveillé, j’ai repris mon bouquin et je me suis fais servir une petite bière bien fraiche. On a clôturé la soirée par un barbecue. C’était vraiment bien.llt
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CR204 : la disparition de Richard Taylor - Arnaud Cathrine
Richard Taylor vit à Londres avec sa femme et leur petite fille. Il est trentenaire, brillant, beau gosse et travaille à la BBC. Il disparait du jour au lendemain. On le retrouve alors fréquentant le milieu homo, errant de villes en villes, dépressif et alcoolique.
Les personnes l’ayant côtoyé avant ou après sa fuite en avant se succèdent pour donner leur vision des choses, pour tenter de donner des explications, des motivations.
Bien que les roman à plusieurs voix me lassent, ce système trouve ici tout sa pertinence. Arnaud Cathrine parvient à nous immerger très vite dans l’univers de chaque narrateur. Certes, le thème du type qui quitte tout sans crier gare à la recherche de la vraie vie, de son moi profond n’est pas très original mais j’ai trouvé cette lecture globalement agréable.
Le dernier reproche que je fais et c’est toujours le même dans ce genre de roman (et c’était déjà le cas pour les liaisons dangereuses) : les auteurs pratiquent le même style d’un narrateur à l’autre...ce n’est pas crédible car on a tous une façon différente de s’exprimer et surtout pas à la même aisance devant l’écriture..Or dans ce roman, on dirait que tous les narrateurs sont des écrivains.
Antoine est un inconditionnel de Arnaud Cathrine. C’est lui qui m’a conseillé ce roman.
lecture du 01.04 au 05.04.2011
folio n°4730, 214 pages
note : 3.5/5
à suivre : dalva, Jim Harrison -
CR203 : l'âge de raison - Jean-Paul Sartre
Mathieu Delerue, un petit bourgeois trentenaire et prof de philo vaguement existentialiste engrosse par accident Marcelle, une femme qui reste allongée toutes ses journées (l’auteur n’explique pas pourquoi). Sans vraiment demander son avis à Marcelle, il décide qu’elle doit avorter et se met en quête de la somme nécessaire à ce genre d’opération. On le suit alors dans ses pérégrinations dans le Paris-bohème de l’époque (l’action se situe à la fin des années 30), dans les caves où l’on danse toute la journée et les bars de la rive-gauche. Mathieu a du mal à mettre en pratique ses idéaux et ses amis, avec qui il discute beaucoup politique et moralité, n’ont de cesse de lui reprocher son ambivalence. Comme de fait, ce Mathieu est énervant.
Si ce roman semble un peu daté dans ses préoccupations, le personnage de Mathieu préfigure quand même un peu l’arrivée d’une génération vivant dans l’opulence, mais désireuse de changer le monde, tout en mettant un point d’honneur à vouloir conserver son statut.
Dans ce roman, j’ai surtout apprécié le niveau des dialogues et cette façon un peu zolienne qu'a l'auteur de décrire des scènes dans lequelles évoluent plusieurs personnages (dans les bars par exemple).
Je ne dois pas vivre sur la même planète que celle sur laquelle vécut Jean-Paul Sartre et c’est peut-être pour cette raison que je suis attiré par ses romans. Il y a quelques années, la nausée m’avait profondément agacé et j’ai ressenti la même chose en lisant ce premier tome de la trilogie les chemins de la liberté. Mais comme j’aime bien me faire mal, je lirai le tome 2, au cours de cette année 2011, avant ou après la suite allemande saison 2, qui est en préparation (et je prépare également une suite islandaise..si vous avez des conseils de lecture de ce côté-là, n’hésitez-pas).
lecture du 03.03 au 31.03.2011
folio n°870, 370 pages
note : 2.5/5
à suivre : la disparition de Richard Taylor, Arnaud Cathrine.