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Colin sabre et tam-tam - Page 106

  • journal du jogger sympa (4) - les foulées des langoustines le 10.08.08

    009d76bae67244122176aedce5324387.jpgJe suis globalement assez content de cette course à Locmiquélic. Le circuit était sympa et varié avec de splendides vues plongeantes sur l'océan , le temps était correct et j'avais plutôt de bonnes sensations. Au final, je fais 01h00mn42s pour 13.5KMS. L'envie était forte de boucler l'affaire en moins d'une heure et je dois dire que ça s'est joué à pas grand chose, genre deux pauses totalement inutiles à des points de ravitaillement. Mais pour une fois j'ai bien géré ma course en ne me grillant pas dès le départ, ce qui fait que contrairement à Pont-Scorff je n'ai pas été doublé sur la fin. Je passe au 5KM en 21.28, au 10KM en 44.04. Y'a encore une marge de progression évidemment, notamment dans les côtes où je peine beaucoup, même quand les pourcentages sont faibles. En langage cycliste, je dirais que je suis plus un rouleur qu'un grimpeur, n'empêche qu'il faut que je progresse de ce côté-là.
    Je termine 54/154. prochaine course : les foulées du Golfe (13km) le 19.10 à Vannes (allez le VOC !). D'ici là entrainement..en essayant de pas trop me prendre la tête quand même. Tout ça doit rester un plaisir.

    Avant de quitter Locmiquélic je m'arrête à une superette pour acheter deux ou trois trucs car étant seul quelques jours à la maison, j'avais invité un vieil ami à déjeuner. 2 boites de cassoulet et une bouteille de vin rouge, du pain, un bouquin. Comme j'étais garé loin je demande un sac à la vendeuse. Elle consent juste à me donner un petit sac de presse attendu que j'avais pris un bouquin (le boulevard périphérique de Henry Bauchau pour ne rien cacher). J'essaie d'y fourguer un maximum de choses dont la bouteille. Je file et en rejoignant la bagnole, la sangle du "pochon" cède sous le poids du cassoulet et du pinard. plaf. La bouteille éclate et tache le livre. Autour de moi, les badeaux me regardent benoîtement. Je nettoie au mieux. Tant pis...pour ce midi, ce sera du pain sec et de l'eau. Avec le pouvoir d'achat qui baisse (à ce qu'on me raconte toujours), hors de question que je repasse en caisse. 

    loic, 23h40 (depuis quelques temps je n'arrive plus à taper le i tréma minuscule. quelqu'un peut m'expliquer ? et par là même m'expliquer comment on fait un c cédille majuscule...ça m'arrangerait bien...svp)

     

  • lecture en cours : le nom de la rose - Umberto Eco

    172802229932210c2fe4f8ca0ac3cd1b.jpgQue voilà une lecture très exigeante, qui demande une attention perpétuelle ! Plein de citations latines (et encore du vieux latin, on dirait), des discours sans fin sur des conflits à l'intérieur de l'Eglise (autorité du pape contre franciscains...), il est question d'inquisition, de pénitence, d'antéchrist,  du Malin.  Evidemment les protagonistes sont  des moines...des moines en veux-tu en voilà...qui se ressemblent tous. Un impératif s'impose : avoir son bloc-note près de soi. Par ailleurs, j'ai beaucoup de mal à me figurer les lieux, à me les représenter, ce qui est embêtant puisqu'il s'agit d'une enquête concernant des meurtres commis dans un monastère. Je me demande si je ne ferais pas mieux de regarder quelques séquences du film de Jean-Jacques Annaud afin de me faire une idée de tout ça. Il parait que le film est assez fidèle pour ce qui de la représentation de l'abbaye.
    Bon mais c'est quand même assez exaltant, et comme qui dirait , jubilatoire (je ne mets pas entre guillemets, je mets en italique, c'est pas pareil zut). J'aime lire les pavés et encore plus lorsqu'ils élèvent l'esprit. Même si c'est vrai qu'il est question dans le nom de la rose, des temps obscures que furent le Moyen-Age. ça n'empêche. Mais je dirais que la virulence de mon athéisme n'a d'égal que ma fascination pour le fait religion, pour l'art religieux etc.. Je suis très sensible aux monuments religieux, comme par exemple à cette magnifique abbaye de Cerisy, situé dans le Calvados, c'est à dire non loin d'un endroit où je vais souvent. Plus j'y pense plus je me dis qu'il est impérieux que je visite l'endroit au plus vite.
    La lecture du roman devrait prendre du temps.

    Mais ne m'abandonnez pas.Sur ce blog, pendant ce mois d'août, il sera question de poésie et de Proust aussi...ou bien peut-être pas.

    Loïc

  • ça y est, des chercheurs s'occupent de mon cas...

     
    Des chercheurs identifient de possibles « gènes de la paresse »

    Caroline du Nord, États-Unis – Les résultats d’une étude menée par J. Timothy Lightfoot et son équipe de l’Université de Caroline du Nord, prouveraient que le niveau d’activité serait en partie déterminé par la génétique.

    Utilisant des souris sélectionnées en fonction de leur niveau d’activité, l’équipe aurait identifié une vingtaine de sites génomiques qui influenceraient le niveau d’activité des animaux.

    L’identification de telles zones génétiques est une première et J.T. Lightfoot pense que des zones analogues pourraient exister chez l’Homme. Une nouvelle étude, menée sur des hommes et des femmes, devrait donc bientôt être conduite.

    Les résultats de la première étude sont parus dans le dernier numéro du Journal of Heredity, un titre de presse spécialisée consacré à la génétique.

     

    (source yahoo)



  • journal du jogger sympa (3) - séance de fractionné du 01.08.08

    Mes séances de fractionné sont peu conventionnelles mais c'est mieux que de ne pas en faire du tout. Y'a quand même du progrès par rapport au temps où je faisais toutes mes sorties à bloc (ce qui ne fut pas sans résultat mais le fait qu'à un moment on ne progresse plus). Le principe d'une séance de fractionné est d'alterner des fractions lentes et des fractions  rapides afin de stimuler son organisme en variant les allures de course. Personnellement, je fais le plus souvent ces séances sur mon circuit de dix bornes, que j'ai justement borné tous les kms. Et j'alterne un km lent, un km à bloc, un km lent, un km à bloc...Je peux commencer aussi par un km à bloc. Je me fixe une contrainte : ne jamais monter lors des kms lents au dessus des 6MNS, ce qui fait que je ne descends jamais sous les 10KMH. Le but est de faire en sorte de ne jamais baisser le pied même après une fraction rapide particulièrement éprouvante.
    Je ne maitrise pas bien la notion de VMA. Ce que je peux dire en récitant bêtement ma leçon est que la VMA est la vitesse maximale à laquelle je peux courir en apportant suffisamment d'oxygène à mes muscles. Je situe la mienne aux alentours de 15.5KMH, ce qui correspond à 3.52MNS pour 1KMS. Mais je constate lors de mes séances de fractionné que je peux aisément descendre sous les 3.40MNS/km, comme le montre le tableau ci-dessous.
     
    (séance de ce soir)
     
      MN S KMH AVG(%FCM)
             
    Km 1 (L) 4 26 13,53 82,7
    KM 2 (R) 3 43 16,14 93,5
    Km 3 (L) 5 46 10,40 93,0
    Km 4 (R) 3 54 15,38 96,2
    Km 5 (L) 5 39 10,62 93,5
    Km 6 (R) 3 39 16,44 94,6
    Km 7 (L) 5 41 10,56 88,1
    Km 8 (R) 3 32 16,98 96,2
    Km 9 (L) 5 19 11,29 93,0
    Km 10 (R) 4 43 12,72 95,7
     
    L veut dire lent. R c'est rapide. Je constate que ma fréquence cardiaque reste très haute, même dans les phases lentes. Le but serait d'arriver à descendre à 80% en fin de zone lente..et j'en suis loin. Pourtant, à chaque fois que j'attaque le km rapide, je me sens très bien. Mais même en ralentissant beaucoup dans les fractions lentes, la fréquence cardiaque met du temps à descendre.
    Maintenant, je me pose la question. Attendu que mon objectif à long terme est de faire 40MNS au 10KMS (bon, à très très long terme on va dire...), dois-je me contenter de faire des fractionnés à 15kmh dans les fractions rapides, ce qui pourrait peut-être règler les problèmes de fréquences cardiaques élevées dans les phases lentes ou dois-je continuer à courir dans les fractions rapides à bloc, c'est à dire bien au-delà des 15.5KMH ? Car la VMA n'est pas fixe dans le temps et elle peut s'améliorer par le travail. Or je présume qu'on ne peut l'améliorer qu'en se donnant à fond.
    Pour ceux qui suivent encore, je tiens à informer que le km10 est très difficile (grosse bosse) si bien que même en fréquence rapide, je ne fais pas mieux que du 12.7KMH. On veillera à s'approcher des 13kmh dans cette partie.
     
    Loïc, 23h00
     

  • CR48 : zone mortuaire - Kelt et Ricardo Montserrat

    253334057b75d5ed5ea01a4df5a157a0.jpgComment peut-on écrire un roman cohérent, un roman qui se tient,  lorsqu'on est plusieurs amateurs à le faire, fussent-ils assistés par un écrivain professionnel ? C'est la question que je me posais avant de lire ce polar et que quelque part je pose encore après. Sous l'égide de Ricardo Montserrat, l'idée fut de réunir quelques habitants d'un quartier populaire  de Lorient (Kervénanec) afin que chacun apporte à son rythme et sa manière un peu d'eau au moulin. L'initiative est intéressante d'un point de vue social.
    Mais le seul intérêt de cette histoire pour moi est qu'elle se passe dans l'agglomération lorientaise. Sinon, ce n'est in plus ni moins que le récit d'un drame familial dans un environnement social dégradé où l'alcool et la drogue sont les seules planches de salut.
    terriblement glauque et même pas atmosphérique.
    note : 2/5
    lecture du 6 au 8 juillet.
    encore une note qui casse dur. Ce fut la dernière de la série 'lecture au camping'.
    Loïc


  • journal du jogger sympa (2) : les 14KMH, ça y est !

    96c73f2e020f42ca272c93394a57525a.jpgJolie performance hier soir : je réalise 42.26MNS sur 10KMS soit 31SECS de mieux que mon précédent meilleur chrono le 08.05. Je suis vraiment content car il me tardait d'être récompensé de tous mes efforts de ces derniers mois (séances fractionné et globalement entrainement plus sérieux..donc plus chiant aussi. Faut savoir ce qu'on veut). J'ai super bien géré la course et ne suis jamais descendu sous les 14KMH. J'ai même réussi par moment à placer de petites accélérations sans affoler le cardio. Je fais une séance à 93.5% de ma FCM, ce qui me  laisse une petite marge de manœuvre pour de futurs chronos.
    . un bémol : je me suis enfilé une red bull (à base de taurine) à un quart d'heure du départ mais il m'est difficile de savoir le lien de cause à effet. Peut-être un petit effet psychologique..encore que.
    . une constatation : en été, les chronos se font soit tôt le matin soit le soir après 21h.
    Voilà qui me met en confiance pour les foulées Langoustine à Locmiquélic (13.5kms) le 10 août, course qui me servira de base dans l'optique de la préparation des foulées du Golfe le 19.10 (où je compte casser la baraque...obama). Pour les foulées Langoustine, je me contenterai de faire moins d'une heure.
    Je tiens au courant les cinq ou six internautes qui viennent encore me lire de temps en temps. Et ça me servira de carnet de bord aussi.
     
    Loïc

  • CR - Jean-Lou et Sophie - Marcel Marlier

    239b8b59b3460816a0880c2ce03152f9.jpgC'est en flânant au marché d'Hennebont que je suis tombé sur ce Jean-Lou et Sophie. C'est un petit livre pour enfants racontant les pérégrinations de deux gosses en Bretagne. Ils errent de villes en villes, de Fougères à Dinan en passant par Quimper et par les campagnes environnantes (Mont d'Arrée...). Plus que le texte (complètement incohérent et peu crédible), ce sont les dessins qui font rêver. Car le livre est de Marcel Marlier, celui-là même qui fait les aquarelles des Martine (mais il ne faut plus parler de Martine car le buzz en passé, n'est-ce pas). Les dessins donc, sont de toute beauté et très réalistes et donnent plus envie de visiter la Bretagne que n'importe quel guide touristique.
    Il y a tant de choses à visiter en Armorique (et tant de choses qu'il vaut mieux éviter aussi) qu'une vie ne peut suffire. Dommage que le texte fasse dans la caricature primaire. En effet, les enfants trouvent par hasard un fou de Bassan mazouté, qu'ils nettoient et qu'ils rendent à la nature. Mais n'oublions pas qu'il s'agit avant tout d'un livre pour enfants. Mais c'est vraiment chercher la petite bête car cet album est un enchantement de tous les instants.
    Ah, une autre chose aussi. Le Mont-Saint-Michel n'est pas breton..mais normand..car
    Le Couesnon  en sa folie
    A mis le Mont en Normandie.

    (Ceci dit, reconnaissons à l'auteur de ne pas avoir parler de Nantes... qui, comme chacun sait, n'est pas bretonne...)
     
                                                   

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  • CR47 : les noces barbares - Yann Queffélec

    33db147ec299029f64578e231dbe8e80.jpgQue me reste-t-il de ce roman trois semaines après sa lecture ?...quelques images : un viol dans une tente militaire sur des dunes quelque part dans les Landes, un enfant caché dans un grenier, un asile psychiatrique quelque part dans une forêt, l'enfant qui fait une fugue et qui se cache des mois durant dans une épave échouée sur une plage désertée.
    ça ressemble à un roman de débutant, un roman où l'on veut en faire voir de toutes les couleurs au lecteur, un roman où les sentiments sont très crus mais trop caricaturaux. J'ai trouvé peu crédible ce récit qui se présente comme étant somme toute assez banal. Mais Yann Quéffelec étant un compatriote breton, j'ai envie de lui donner une seconde chance. A suivre donc.

    note : 2.5/5
    lecture les 9 et 10 juillet.

    En ce merveilleux été, les comptes-rendus ne casseront pas des briques et seront plutôt méchants. pas de chances pour les livres et auteurs concernés.
    Loïc, 17h30

  • au 'restaurant sympa'

    ae16f825d2c0fda6bf0bc9de543e4312.jpgPendant nos vacances en Vendée, alors que nous flânons un soir dans les rues de La Faute-Sur-Mer, nous passons devant un restaurant qui a l'air sympa. Comme de fait, le restaurant s'appelle le restaurant sympa. (ça ne s'invente pas). Nous décidons d'y entrer pour dîner. Comme le temps est incertain, nous décidons de manger à l'intérieur. On s'installe, on commande un apéro ainsi que des moules-frites. Il s'avère que ce soir-là, un petit concert est organisé. Le chanteur s'appelle Ivan Maldoror et on le voit qui prépare son matos tout souriant. On se dit qu'on va passer une bonne soirée. Le mec commence à chanter et dans la salle, seules trois tables son occupées. Le Muscadet me monte à la tête, Chloé et Lola, bons publics dansent et IvanMaldoror leur sourit tout content qu'il est de rendre des enfants heureux. Ses chansons sont des reprises de trucs d'OtisRedding, de Bob Marley et d'autres choses dans le genre qui se laissent écouter tout en mangeant. Le chanteur fait participer son petit auditoire en posant des questions ou en disant des conneries du genre 'voilà, ça c'était de Gérard Souchon', espérant bien sûr qu'on le reprenne. Ce que je fais. On passe une bonne soirée. Mais les clients d'une table s'en vont. On n'est plus que deux tables. Parallèlement cinq serveurs s'affairent. Quasiment un serveur pour deux clients. Dehors, sur la terrasse, il y a un peu de monde mais ils ne peuvent pas voir le concert.
    Je me sens bien jusqu'à ce moment où Ivan Maldoror qui vient de chanter Don't worry be happy nous dit que le morceau est de Bobby McFerrin (si ma mémoire est bonne). Et je me dis à ce moment-là que le point commun entre tous les titres qu'il nous chante est que ce sont tous des morceaux qui ont été repris pas les publicitaires. Et là, je ne sais pas pourquoi, emporté par mon enthousiasme et par le muscadet, je lui dis ouvertement alors que le silence complet s'est fait dans la salle 'mais toutes ces chansons, ce sont avant tout des chansons de pub, à la base'. Texto. Ivan Maldoror me regarde et se met gentiment à rire, une sorte de rire moqueur en même temps que poli (un peu comme l'on rit lorsqu'un enfant vient de sortir avec beaucoup d'assurance une grosse stupidité) et il m'explique devant tout le monde qu'avant d'être des musiques de pub, ces chansons furent avant tout écrites et interprétées par des artistes. Disant cela, il croit m'apprendre quelque chose. A ce moment-là, je suis tout rouge et je me sens terriblement seul. Prisca rit elle aussi et j'ai cru entendre un des serveurs et la tablée d'à côté se moquer. Je me dis qu'Ivan Maldoror doit me prendre pour un imbécile heureux, un consommateur influencé par la publicité, un fidèle de tf1.
    Quelques minutes après, le chanteur fait une pause et vient à notre table pour signer des autographes à mes filles. L'occasion est trop belle. Il est impératif que je rattrape le coup et là je lui sors un 'Maldoror, c'est par rapport aux chants de Maldoror de Lautréamont ?', espérant montrer ainsi ma culture. Il confirme évidemment. (de tout façon, c'était évident). Et ensuite, je prends mon courage à deux mains et lui explique que par ce que j'avais dit tout à l'heure je voulais dire que pour le français moyen, qui n'a pas, comme chacun sait, beaucoup de culture musicale, ces titres sont avant tout, "à la base", des musiques de pub. 

    Je sais pas si j'ai sauvé le coup mais en tout cas j'ai essayé.Mais globalement quand même, c'est la honte. 

    Loïc

     

  • un merveilleux été...

    Il y a quelques mois, j'ai acheté un cd !! Comme dans l'ancien temps, à savoir que je me suis rendu dans un magasin où il y a plein de choses en vrai et notamment des cd. On choisit ce qu'on veut, suite à quoi, on passe à ce qu'on appelle une 'caisse' et on il faut payer. C'est à dire qu'on ne peut pas sortir du magasin sans donner de l'argent au vendeur. Il y a plusieurs façon de la faire, soit par carte bancaire (méthode la plus courante), soit par chèque ou alors en espèce. J'explique tout ça aux jeunes et à tous les gens qui auraient oublié que la musique a un prix. Comme toute oeuvre d'art. Le cd en question était "l'invitation"...et en ce merveilleux été, j'ai envie de vous faire partager celui de Daho. Très jolie chanson qui fleure bon les petites maisons perdues dans quelque pays ensoleillé.

    089916f8e6cabd7f85f0b85587d7b938.jpgRien ne semble pouvoir venir troubler
    Ce merveilleux été
    La maison est grande ouverte et aérée
    J’ai réparé
    La toiture et repeint les murs
    J’ai pansé mes blessures
    Et refait ma vie
    Ici

    Il flotte un si merveilleux parfum sucré
    De fleurs éclatées
    Comme un je ne sais quoi de sacré
    Dans le ciel, l’été
    L’azur est aveuglant
    Et pur
    Comme une éclaboussure
    Dans ce cadre idéal

    Et toi
    Toi
    Tu veux savoir pourquoi aujourd’hui je ne t’aime plus
    Pourquoi depuis un moment on ne se capte plus
    Et tu pleures en secret
    Toutes les larmes de ton corps
    Comme si j’étais mort

    Il règne une si oppressante chaleur
    Comme une torpeur
    Alors que montent les larmes de ton corps
    Fais comme si j’étais mort