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  • nouvelle liste de lecture

    IMGP5274.JPGJe n'ai pas vraiment terminé la liste de lecture que je m'étais fait avant l'été..mais elle était très ambitieuse et j'ai passé plus de temps que prévu dans le nom de la rose. De cette précédente liste, je reporte terminal frigo sur la nouvelle. J'ai vraiment envie de lire ce "truc" encore bizarre que nous offre Jean Rolin (père d'Olivier Rolin ?). Par contre j'annule les lectures de mémoires secrets..' de Pierre-Jean Rémy (je n'en ai trouvé de résumé de nulle part et au fond je ne sais pas de quoi il s'agit. J'ai lu quelques pages comme ça et je ne suis pas avancé. pas trop envie d'approfondir cette affaire-là). Le complot contre l'Amérique de Philip Roth est également annulé. Je ne crois pas au complot. Et puis il y Hofmann à Tokyo de Didier Da Silva. J'ai commencé et je n'ai pas accroché. Du coup j'ai suspendu. Et là j'annule.

    Voici les livres qui devraient m'accompagner jusque la fin de cette année. je regrette que les plumes ne soient que masculines. Mais je me rattraperai en 2009. Je regrette aussi qu'il n'y ait, à part Donald Waslake que de la littérature francophone. Mais je me rattraperai aussi en 2009 ( car j'ai envie de découvrir la littérature russe )...Mais je regrette, je regrette ! comme si ce n'était pas moi qui avais établi cette liste. Et bien si, c'est moi, et je l'assume totalement. Je suis très pressé de relire du Echenoz , très pressé d'emprunter le boulevard périphérique, celui qui, dans ses prolongations débouche sur une zone ( qui est loin d'être un eldorado) où personne n'est parfait, surtout en cette arrière-saisonles gens d'en face se demandent qu'est ce que la littérature.

    - Terminal Frigo, Jean Rolin
    - zone, Mathias Enard
    - prolongations, Alain Fleischer
    - cherokee, Jean Echenoz
    - eldorado, Laurent Gaudé
    - personne n'est parfait, Donald Westlake
    - classe tous risques, José Giovanni
    - le boulevard périphérique, Henry Bauchau
    - l'arrière saison, Philippe Besson
    - qu'est-ce que la littérature ?,  Jean-Sol Partre
    - les gens d'en face, Georges Simenon
    - la modification, Michel Butor
    - Meuse l'oubli, Philippe Claudel

  • CR53 : le rêve - Emile Zola

    330649161_L.jpgJe ne sais pas si je peux me permettre de dire que la lecture de ce roman m'a globalement ennuyé, que j'avais comme un noeud dans le ventre à chaque fois que j'en reprenais le cours. Je me demande si je peux me permettre car on a toujours des scrupules lorsqu'il s'agit de juger les romans d'auteurs classiques, Emile Zola qui plus est, le meilleur de tous, celui dont les romans m'ont apporté les plus grandes émotions littéraires, les plus grandes joies, les plus grandes peines..mais aussi celui qui fit naître en moi, par le passé un sentiment de révolte (disparu aujourd'hui pour je ne sais quelle raison).
    Mais bon, objectivement, je pense que le rêve est quand même bien au-dessous des autres Rougon-Macquart, tant dans le ton que dans l'ambition. Pour résumer en une phrase, il s'agit de la passion amoureuse d'une jeune brodeuse pauvre pour un jeune et riche notable dans une petite ville de la province profonde. Tout le monde s'y oppose etc etc. Impossible de marier une ouvrière et un bourgeois. Tout se passe dans l'ombre de l'imposante cathédrale, mainte fois décrite par Zola..et dans un univers tapissé de bondieuseries où le fait religieux passe au-dessus de tout. C'est peut-être ce qui m'a laissé : quelques semaines après la lecture laborieuse (mais ô combien instructive) du nom de la rose, cela fait trop sans doute.

    lecture du 16.09 au 27.09
    note : 3.5/5
    à venir : doggy bag 3, Philippe Djian

    - la place, Annie Ernaux ;
    - Doggy Bag saison 3, Philippe Djian ;
    - Paysage fer, François Bon
    - Le rêve, Emile Zola
    - Le complot contre l'Amérique, Philippe Roth
    - Le café de la jeunesse perdue, Patrick Modiano
    - Cent ans de solitude, Gabriel Garcia Marquez
    - Le mépris du bon sens, Benoit Godrillon
    - Terminal Frigo, Jean Rolin
    - Le nom de la Rose, Umberto Eco
    - Ferroviaires, Sereine Berlottier
    - Lignes de faille, Nancy Huston
    - C'était bien, Jean D'ormesson
    - Hoffmann à Tokyo, Didier Da Silva
    - Tours et détours de la vilaine fifille, Mario Vargas Llosa
    - Les noces barbares, Yann Queffélec

    - Mémoires secrets pour servir à l'histoire de ce siècle, Pierre-Jean Rémy

     

  • service achat

    757f6a44e9baa1b1cc354b1352721897.jpgréception de deux bouquins ce jour. Achat à fnac.com au prix moyen pondéré de tant. Livraison gratuite, va sans dire. Profitons-en tant que ça dure (puisqu'apparemment cela a l'air de gêner certains que des lecteurs pas riches -mais pas pauvres non plus, faut dire ce qui est - puissent recevoir des livres sans payer de frais de port). Soyeux sérieux une minute : les ventes de produits culturels via le net ont sérieusement fait fondre le prix du cadis du consommateur de livres. Et comme lorsqu'il y a un gagnant, il y aussi un perdant, ayons une pensée émue pour les petites librairies des centres villes fréquentées par les gens qui habitent les centres villes..Suivez mon regard. Je ne vais pas les plaindre parce qu'elles ne sont pas trop à plaindre (Je connais une personne qui s'occupe de la compta de petites librairies). L'objectif avant toute chose est de démocratiser l'accès à la culture..et le net le permet, en même temps qu'il s'occupe d'aménager le territoire.

    Arrivée de deux bouquins disais-je. L'un zone de (Mathias Enard) fait 520 pages, ne comporte aucun alinéa et quasiment aucun signe de ponctuation. Moi qui ai l'habitude de n'interrompre mes lectures qu'aux changements de paragraphes, comment vais-je faire ? Et au fait, pourquoi avoir acheté ce livre ? parce que j'aime les défis, et que j'aime aussi le thème de celui-là, que j'aime les trains et que surtout j'aime les zones...

    L'autre, prolongations fait aussi 520 pages. Style classique. Celui-là, je l'ai acheté parce que je suis vaguement fasciné par l'enclave de Kaliningrad, ce morceau de Russie au coeur de l'Europe. On se demande comment l'histoire de l'Europe a pu laisser derrière elle une telle bizarrerie. Je n'aurais pas la réponse dans ce livre de Alain Fleischer (un troisième couteau -))..mais au moins lirai-je enfin quelque chose ayant rapport à Kaliningrad.  Alain Flescher est l'invité d'Alain Veinstein ce lundi soir.

    Avant toute chose, je dois terminer le rêve d'Emile Zola. J'apprécie mais sans plus. Cela n'a pas le souffle et le lyrisme des grands Rougon-Macquart. Mais à ce que j'ai pu lire, ce n'était pas l'intention de l'écrivain. Mon meilleur Zola reste l'oeuvre..euh non l'argent, ah non Pot-Bouille..ah zut non je voulais dire la terre...euh non je pensais à  la conquête de Plassans...ou  étais-ce à l'assomoir...ah non c'était la joie de vivre...et puis zut, un de ceux-là !

    Ensuite, je me fais un petit Philippe Djian...ce qui suis une certaine logique tant Djian apparaît comme étant le fils spirituel de Zola...un Zola des temps modernes. ou alors l'opposé ? En tout cas, les doggy bag me font mourir de rire.
    loïc lt
  • Lambel-Camors : attention, le train va entrer en gare.

    e1b7344ab799a3cb551df969ce275545.jpgDimanche dernier, la gare de Lambel-Camors revivait pour quelques heures à l'occasion d'une petite fête sympa. Les amateurs de vieux trains ont passé un agréable moment aux abords de la gare, en compagnie des artistes et des différents protagonistes. Quelques-uns portaient des tenues d'époque et je repense notamment au chef de gare, fier comme Artaban dans son joli costume noir. Le clou du spectacle ce fut les quelques arrêts en gare de la vieille locomotive, exceptionnellement remise en service par la sncf. Le train fait le trajet Auray-Pontivy tous les dimanches de septembre et cela coûte 15000F ancien (à vous de faire le calcul). Saluons donc les bénévoles et la sncf etc etc. Je tenais à faire une petite note là-dessus car plus que par les trains, je suis attiré par les vieilles gares désaffectées...et il en existe pas mal en Bretagne puisque la plupart des lignes intérieures ne voient plus passer aucun train. Et j'ai souvent trainer mes guêtres dans la gare de Lambel..avant qu'elle ne soit vendue à la mairie à des particuliers, qui en ont fait un musée.
    vidéo du train lors de son entrée en gare.

  • CR52 : lignes de faille - Nancy Huston

    7dcf0bb1688adbdc6d3c3582f5636451.jpgLe principe de ce roman est original : il s'agit de 4 récits dont les narrateurs successifs sont des enfants de six ans dont chacun est le parent du précédent. Le premier récit (de Sol) m'a globalement ennuyé, le deuxième un peu moins et ainsi de suite jusqu'au quatrième..car petit à petit on devine qu'un secret de famille plane sur ces générations qui se suivent et on sent monter la tension jusque la révélation finale.
    En même temps, il s'agit d'une plongée dans l'histoire contemporaine des États-Unis, en commençant par la fin (le 11.09.01 est évoqué) et en démarrant dans les années 40 (quelque part en Allemagne). Pas inintéressant de revisiter l'histoire sous le point de vue parfois naïf et en tout cas plein de candeurs des enfants.
    C'est savamment construit et plaisant à lire. Mais ça manque peut-être de souffle épique ( à la manière d'un middlesex, qui utilise - de mémoire - un peu le même procédé).


    On va dire que ça vaut 3.5/5. Pas 4...car j'ai été sans cesse agacé par le fait que dans les dialogues, Nancy Huston inverse systématiquement la disposition du verbe et du sujet (genre, elle va écrire :
    - quelle heure est-il, elle demande ?
    au lieu de
    - quelle heure est-il, demande-t-elle ? ). Ce qui sonne très mal.

    lecture du 07.09 au 14.09.08
    en poche (collection babel)
    note : 3.5/5
    lecture à venir : le rêve, Emile Zola

     

    - la place, Annie Ernaux ;
    - Doggy Bag saison 3, Philippe Djian ;
    - Paysage fer, François Bon
    - Le rêve, Emile Zola
    - Le complot contre l'Amérique, Philippe Roth
    - Le café de la jeunesse perdue, Patrick Modiano
    - Cent ans de solitude, Gabriel Garcia Marquez
    - Le mépris du bon sens, Benoit Godrillon
    - Terminal Frigo, Jean Rolin
    - Le nom de la Rose, Umberto Eco
    - Ferroviaires, Sereine Berlottier
    - Lignes de faille, Nancy Huston
    - C'était bien, Jean D'ormesson
    - Hoffmann à Tokyo, Didier Da Silva
    - Tours et détours de la vilaine fifille, Mario Vargas Llosa
    - Les noces barbares, Yann Queffélec

    - Mémoires secrets pour servir à l'histoire de ce siècle, Pierre-Jean Rémy
  • les sorties de la rentrée : la sélection france Culture/télérama + "Cendrillon" en poche.

    Voici la sélection France Culture/Télérama. La reconstruction d'Eugène Green me tente plus ou moins..ainsi que le Zone de Mathias Enard (ce dernier rien que pour le titre). Espérons en tout cas qu'il en sortira quelque chose de plus réjouissant que le pitoyable et mon coeur transparent, lauréat 07. 
    • Maylis de Kerangal, Corniche Kennedy (Verticales)
    • Philippe de la Génardière , L’année de l’éclipse (Sabine Wespieser)
    • Mathias Enard, Zone (Actes sud)
    • Tristan Garcia, La meilleure part des hommes (Gallimard)
    • Sylvie Germain, L’inaperçu (Albin Michel)
    • Eugène Green, La reconstruction (Actes sud)
    • Régis Jauffret, Lacrimosa (Gallimard)
    • Laurent Nunez, Les récidivistes (Champ Vallon)
    • Mathieu Riboulet, L’amant des morts (Stock)
    • Olivier Rolin, Un chasseur de lions (Seuil)



     Sinon, mon roman coup de coeur 2007 sort en poche..avec une couverture bien dans l'esprit du livre.

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  • lecture en cours : lignes de faille - Nancy Huston

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    lignes de faille a été beaucoup lu et commenté par les blogueuses littéraires (je mets au féminin, de la même façon qu'on dit les "infirmières" alors qu'il y a quelques hommes infirmiers). C'est peut-être ce qui m'a plus ou moins incité à l'acheter et à le lire. Et aussi le fait qu'il soit sorti dans la sublime et très sympathique collection babel...(couverture et papier un brin jaunis et police de caractère des plus agréables). Et je me dis aussi que je ne lis pas assez d'auteurs féminins. Autant de raisons...

    A l'heure où j'écris, j'en ai lu 200 pages et je suis dubitatif. Il ne s'est encore rien passé. Deux narrateurs successifs se sont exprimés et à chaque fois des petits américains de six ans et chacun raconte des choses banales. A ce que j'ai pu lire, la fin est renversante et met en relief des détails et faits anodins distillés pendant le roman mais quelle que soit cette fin  rien ne m'enlèvera le sentiment que je me suis ennuyé en ce début de lecture.
    Et puis, c'est vrai aussi que de succéder aux détours et détours de la vilaine fille n'est pas tache aisée.

    rentrée littéraire : comme tous les ans, je vais m'en coltiné un petit. Pour l'instant mon choix se porte sur un second couteau : prolongations de Alain Fleischer. Télérama le trouve vaguement kafkaïen et j'aime bien ces trucs là. Le type passe chez l'ami Veinstein le 22.09.

    +++

     

  • CR51 : Tours et détours de la vilaine fille - Mario Vargas Llosa

    3a5ea7b51902e8f6007b35fc71168903.jpgVoici le compte-rendu du meilleur roman que j'ai lu cette année. En 2007, ce fut Cendrillon de Eric Reinhardt. En 2008, cela risque fort d'être ce tours et détours de la vilaine fille de Mario Vargas Llosa. Car ce livre, ce n'est que du bonheur du début à la fin, l'essence même de la littérature.
    Tout le long du roman, le narrateur Ricardo, un traducteur péruvien vivant à Paris est amoureux d'une vilaine fille qui ne cessera de changer de nom au fur et à mesure de ses vies successives. Du coup, pour se simplifier la tâche, très vite il l'appelle la vilaine fille. Et ça lui va très bien. Car la vilaine fille se fiche de tout et de tout le monde. Complètement désinvolte, avide d'émotions fortes et attirée par le fric facile, elle ne satisfait pas de la vie un peu trop ronflante de Ricardo , qui se sent juste bien dans sa petite vie d'interprète et de traducteur. Alors, elle ne cesse de le quitter sans crier gare pour quelque amant fortuné rencontré ici ou là en France, dans les milieux aristocratiques anglais ou dans la mafia japonaise. La vilaine fille, si belle, si gracieuse et si féminine ne se fixe aucune règle. Elle va de par le monde (en commençant par être l'épouse d'un révolutionnaire castriste) pour finalement retomber, souvent un peu par hasard dans les bras de son Ricardo chéri , qui est vraiment le seul à l'aimer pour ce qu'elle est. C'est d'ailleurs là le seul petit défaut du roman : sur cette Terre peuplé de 6 milliards d'êtres humains, il semble inconcevable pour deux individus de se retrouver aussi facilement et et à chaque fois par hasard (sauf lors des retrouvailles à Madrid ). Cette histoire d'amour complètement déjantée qui durera 40ans se termine plutôt bien, on va dire puisque la vilaine fille, à bout de souffle, à bout de force, épuisée, malade, amaigrie, vient passer ces derniers jours sur Terre dans les bras de Ricardo . A ce moment, je n'ai pas pleuré mais j'ai eu comme un commencement de boule dans la gorge. Mais j'ai fermé le livre le sourire aux lèvres.
    Tours et détours de la vilaine fille se boit comme du petit lait. C'est frais, enjoué, comme l'est toujours la plume de Mario Vargas Llosa, qui fait partie de mes écrivains vivants préférés.
    Merci à lui. Vive la littérature..et les femmes comme la vilaine fille -))
    lecture du 29.08.08 au 06.09.08
    note : 4.5/5
    lecture à venir : ligne de faille de Nancy Huston

  • le jingle de france culture

    Certains puristes ne l'aiment pas. Moi je l'aime beaucoup. Je le trouve très moderne en même temps que très esprit-france-culture.

    podcast

    A propos, la grille de rentrée de la radio est évidemment connue (attention, design de la grille très moche). Elle contient 14 émissions littéraires. Qui a dit que France Culture était terrassée par le libéralisme ? Comme tout ne peut être rose, je regrette que les pieds sur Terre soit toujours là...Que ce soit sur le fond et sur la forme, je ne peux pas encadrer cette émission. 

  • le jardinier sympa - la folie des bambous

    Il y quelques mois je vous parlais de ma passion pour le pin maritime et de la création d'une pinède dans la partie nord-est de ma propriété (47°50'10.49'' N - 4°19'13.22" O). J'y ai planté 4 pins (dont un sylvestre) dont deux sont décédés (snif).  Mon erreur fut évidemment d'avoir opéré au printemps en déracinant des arbres de la forêt. Ils n'ont pas dû supporter le choc. Du coup, pour remplacer les deux défunts, j'ai commandé deux pins que je planterai en novembre (à la ste catherine bien sûr...). Dans 15 ans, ça me fera un bel endroit tapissé d'épines de pins avec une odeur de résine embaumant l'atmosphère. 

    Malgré tout, ma surface de tonte reste trop grande. Il faut continuer à meubler..

    7d8f713da85370e1285b47559ffc2e27.jpgEt la révélation a eu lieu en juillet : c'est du bambou qu'il me faut. Tout de suite, je pense au bambou qui me vit grandir et qui se situe près du puit de la maison familiale (photo à gauche). J'ai réussi à en extraire 3 racines. Mon père me dit qu'il l'a toujours vu là. Du coup, je n'en connais pas la variété. Mais il existe sur le net quelques communautés de bambousophiles qui sauront bien me renseigner. Pour le reste, j'ai acheté deux potées, l'une au marché d'Hennebont (du Hibanobambusa tranquillans ), l'autre chez un pépiniériste de Grand-Champ ( du phyllostachys Aurea). Tout ça est en terre, est bichonné, surveillé, arrosé. J'adore le bambou ! (rien que le nom déjà) Je trouve qui cette plante a une vraie personnalité et donne à nos jardins un petit côté exotique et fantaisiste. Quiconque plante des bambous est un petit filou dit le proverbe. Et bien soit, je veux bien être un filou..
    Après quoi, l'idée serait de faire venir de je-ne-sais-où un gros caillou de type granitique autour duquel je laisserais pousser des ajoncs, et ce pour donner une petite touche armoricaine à l'ensemble. Mais je ne sais où trouver ce caillou, ni à quel prix. Sans doute en contactant une carrière. Mais je me suis laissé dire que ce type de caillou se plantait au printemps. On attendra donc.

     

    petit bambou deviendra grand...

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