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Colin sabre et tam-tam - Page 95

  • CR81 - la chartreuse de Parme - Stendhal

    9782253160687.jpgnote de l'éditeur : Fasciné par Napoléon qu'il rêve d'aller rejoindre, Fabrice del Dongo arrive à Waterloo quand commence la bataille. Mais il ne suivra pas la carrière des armes à quoi il aspirait, et consentira à devenir prélat. Avec assez de détachement, cependant, pour que l'essentiel reste bien pour lui chasse au bonheur - c'est-à-dire l'amour.

    Quand Stendhal publie La Chartreuse en 1839, le propre du roman demeure toujours à ses yeux le romanesque où rien ne compte que le récit qui se moque du sérieux, l'allègement de la vie et l'héroïsme des grandes actions comme des grandes passions.

    Et le paradoxe de ce livre moderne qui est aussi une satire du pouvoir et de la cour de Parme, de ce livre où les Italiens retrouvent leur culture, c'est qu'il demeure apparenté au vieux fonds sans âge des romans où l'aventure s'accompagne d'un climat de bonheur et de gaieté.

    mon avis : Il m'est très difficile de commenter ce roman, d'autant que déjà, grosse espèce de grippe déclinante, je me sens encore complètement patraque, qu'ensuite il s'agit d'un classique de la littérature française et qui sommes-nous pour oser donner des avis sur de type d'oeuvre que le temps a consacré. Et ensuite, dans le roman lui-même, à des moments de grâce où il est question des amours de Fabrice del Dongo et de ses aventures et mésaventures se succèdent des longueurs interminables (qui doit signer l'acte de pendaison et comment, quand et patati et patata, à côté, Kafka est un petit joueur). 200 pages de moins en ne gardant que les amours et les péripéties directes de Fabrice  auraient suffi. Et puis, même si ça n'a rien à voir parce que pas trop de la même période, j'ai une préférence pour Zola, qui n'oublie pas les "vrais gens", les gens du peuples, complètement occultés par Stendhal pour qui le peuple est une espèce de masse informe sans individualité.

    Mais j'ai quand même un attachement particulier pour Stendhal car c'est grâce à  lui que je suis vraiment "entré" en littérature avec le rouge et le noir au lycée. Je l'ai vite oublié au profit de Rimbaud mais quand même, le rouge et le le noir m'avait marqué et réconcilier avec les lettres.

    lecture du 14.03 au 28.03
    à venir : courir, Jean Echenoz

  • les jours de la semaine.

    le lundi,

    Evidemment, c'est une évidence que de dire que pour une grosse majorité de gens, le lundi est le pire jour de la semaine, surtout le moment du lever à 7heures, quand il faut bouger ses fesses et qu'on a encore plein la tête d'images du weekend. Jour insauvable.

    le mardi,

    Je suis désolé mais le mardi est guère mieux loti. J'explique, j'argumente. Le mardi, c'est une sorte de petit lundi tant pour beaucoup de gens, et notamment les commerçants, c'est le premier jour de la semaine. Et ces gens qui commencent la semaine le mardi sont si nombreux que les autres se mettent à leur place. donc mardi beurk.

    le mercredi,

    Le mercredi évoque le milieu de la semaine et aussi la pause pour les enfants. Or une pause, ça veut bien dire ce que ça veut dire, ça veut dire qu'il en faut une pour repartir ensuite. Le mercredi soir, les enfants et les nombreuses mamans qui ne travaillent pas non plus ce jour-là se sentent comme un dimanche soir.

    le jeudi,

    Là encore, je veux bien faire preuve de bonne volonté mais souvent quand je demande à des collègues comment ils vont, ils me répondent "ça ira mieux demain" (sous-entendant demain vendredi...). L'ombre et la promiscuité du vendredi plânent tellement sur le jeudi qu'elles l'étouffent.

    le vendredi,

    Inutile de dire que c'est le jour où il faut finir tout ce qui a été commencé dans le semaine, dans les entreprises souvent, c'est le jour où il y a le plus de coup de bourres. Etc, et puis pour continuer dans la logique précédente, quand en journée le vendredi vous demandez à quelqu'un comment il va, il répond quoi ? il répond "ça ira mieux ce soir". Ce qui signifie que le vendredi n'est que l'attente du soir. Et puis perso j'ai remarqué que le temps est long le vendredi, ça n'en finit pas.

    le samedi,

    Jour des formalités administratives, des courses, du ménage, pelouse, lavage de bagnoles etc etc. Et toutes ces choses qu'on ne peut pas faire en semaine et qu'on essaie d'éviter de faire le dimanche. Pas réjouissant donc.

    le dimanche,

    C'est un jour qui n'existe que dans nos rêves. Parce que dans la réalité, on n'en profite très peu. Car déjà, on se lève tard et on a à peine le temps de dire "c'est dimanche" que c'est le soir et tous les préparatifs pré-lundi que ça suppose.

    En conclusion, il manque un jour, un vrai jour de glandouille. Et c'est pour ça que je suis favorable à la semaine de 32H (payé 35 va sans dire), ce qui libère une journée de temps libre supplémentaire. Franchement, la vie est trop courte pour bosser 5 jours dans la semaine. Quand on y pense, on se dit que c'est n'importe quoi de gâcher la chance infime qu'on avait de naître par tants d'efforts, de stress et de soumission. C'est tout pour aujourd'hui.

     

  • Chloé

    n809090761_1379144_6328262.jpgJ'adore cette photo de Chloé, son côté sauvage, son côté déjà femme...Chloé est une fille de six ans très sensible, très curieuse, caline et joueuse. Elle pose souvent des questions un peu métaphysiques sur la vie, la mort et elle est fascinée par les gros chiffres genre les milles et les milliards. Elle a un doudou, le même depuis quasiment sa naissance et je l'avais d'ailleurs présenté ici. (c'est fou tous les montages photo que j'ai pu faire avec doudou) Le matin, à 7h, lorsque je vais la réveiller, en moins d'une minute, elle est déjà debout, souriante et se dépêche de s'habiller dans la joie et la bonne humeur. Sinon,  elle n'aime pas trop faire les devoirs (un peu fainéante comme son père donc), elle est mauvaise perdante. Elle n'aime pas les courgettes, les carottes et on va dire les légumes en général. Pas trop gateaux non plus. Par contre, elle rafole de fromages, de frites va sans dire et de crêpes avec beaucoup de sucre dedans. Elle aime les dessins animés de Walt Disney (surtout le roi lion en ce moment), Dora, écouter Yannick Noah, Jennifer, Britney Spears. Question vestimentaire, elle aime les robes "dos nu", le rose et tout ce qui est clinquant.

    Je dis souvent que la naissance de Chloé en 2002 a été pour moi le début d'une nouvelle vie. Ça peut paraître évident bien sûr mais j'ai envie de le redire. J'ai commencé à vivre un peu par procuration et l'alpha et l'oméga de ma vie se situait dans le regard de ma fille.

    Puis en 2004, j'ai un peu pété les plombs. Stress au boulot, responsabilités familiales. J'ai failli tout perdre et puis j'ai retrouvé l'envie d'avancer. Avec l'arrivée de Lola dont je parlerai demain.

  • sortie de fantomatisme, le nouvel album de Holden.

    fantomatisme.jpgJe n'ai pu entendre que un toit étranger et dans la glace, les deux titres mis en écoute sur le myspace. Comme je l'avais déjà dit ou pas ici (j'ai du mal à me souvenir de mes notes passées, fussent-elles récentes..c'est malheureux, du coup on va croire que je radote), mon sentiment est mitigé. Même si c'est avec grand plaisir que je réentends le joli timbre de voix d'Armelle Pioline, j'accroche pas à ces deux morceaux qui me rappellent même parfois la variété française dans ce qu'elle a de pire, à savoir Camille.

    Espérons que le reste de fantomatisme soit d'un autre acabit Alors la question est de savoir que faire. Acheter, pirater ou ne rien faire (et se contenter d'écouter des extraits ici ou là). Pour ce groupe que j'adore, je pencherais plutôt pour l'achat, même si pour éviter toute mauvaise surprise un piratage "de précaution" est envisagé (qui donc après validation déboucherait sur un achat). De toute façon, quand il aime, l'espèce de blogger finit toujours par acheter. Il en va de même pour les livres. Il m'arrive d'acquérir des livres après les avoir emprunté en bibliothèque.

    Le consommateur de chansons des temps modernes a de pitoyables préoccupations. Mais zut quoi faut arrêter. acheter acheter acheter, y'a pas que ça dans la vie. Il faut vendre aussi.

    Loïc, moyennement inspiré sur ce coup-là.

    ps : on aime Armelle Pioline ici aussi.


  • la chartreuse de Parme, extrait

    chartreuse.jpgCe midi, tranquillement installé à une table située dans une pinède où j'aime aller rêvasser et bouquiner à l'heure du déjeuner,  je me suis piqué un petit fou rire qui m'a fait grand bien.

    Fabrice del Dongo, jeune aristocrate naïf et héros de la chartreuse se retrouve au coeur de la bataille de Waterloo.

    L'aide de camp prit le cheval de Fabrice par la bride, le général, aidé par le maréchal des logis, monta et partit au galop ; il fut suivi rapidement par les six hommes qui restaient. Fabrice se releva furieux, et se mit à courir après eux en criant:
    - Ladri ! ladri ! (voleurs ! voleurs !)
    Il était plaisant de courir après des voleurs au milieu d'un champ de bataille.

    (p68, presses pocket)

  • pas de note sur Bashung

    J'en ai suffisamment lu et entendu à droite et à gauche. Je vois pas ce que  je peux dire qui puisse sortir du lot ou qui vaille simplement la peine d'être lu. Alors, il vaut mieux se taire. A contrario, un type qui n'aime pas Bashung et qui le dit clairement, arguments à l'appui, il a raison de faire une note. Et il l'a fait. Et je vous y convie. Par ici. (ô et je viens de découvrir que l'auteur de ce blog était l'auteur du tombeau de la variété française -)))

    Bon, quant à moi, puisque je suis parti, autant continué. Je n'ai vraiment fait attention à Bashung qu'avec bleu pétrole. J'aimais déjà beaucoup ce qu'il avait fait avant (l'apiculteur, je passe pour une caravane) mais sans vraiment m'y être arrêté (mais je me souviens quand même d'une fin de soirée passée avec une personne, on écoutait la compil climax en buvant du calvados et en fumant des cigarillos, et tout ça était très grisant au propre comme au figuré). Mais bleu pétrole m'a franchement fait l'effet d'une bombe artistique..que le grand public va désormais découvrir. Mis à part deux titre inutiles et mal boutiqués (Suzanne et il voyage en solitaire), il n'y a aucun déchet dans cet album...

    ...qui est sombre, certes et donc contraire à ma vision du monde (puisque je suis posimiste - c'est à dire positif et optimiste, n'est ce pas) mais je peux aimer les contraires quand ils sont de qualité. Et cet album est de qualité...Et dans ma tête, j'entend ab chanter hier à Sousse, hier à Sousse, demain Paris...

    Une jolie photo, chopée ici. bisous à tous

    Daho-Bashung.jpg

     

     

     

  • CR80 - la steppe. salle 6. L'Evêque - Anton Tchékhov

    9782070425761.jpgmot de l'éditeur : Les trois nouvelles qui composent ce recueil jalonnent trois étapes décisives de la vie et de l'œuvre d'Anton Tchékhov. La Steppe marque son entrée dans la littérature, Salle 6 sa rupture avec la doctrine tolstoïenne de la non-résistance au mal, L'Évêque l'imminence de la mort. Dans la première nouvelle, l'immensité de la steppe russe est vue à travers le regard d'un enfant qui entreprend un long voyage, sur des chars à bœufs, vers le lointain lycée qui l'attend, vers une vie inconnue. La deuxième a pour triste héros le docteur Raguine qui, après avoir accepté dans l'indifférence la souffrance de ses malades, les mauvais traitements qui leur sont infligés, meurt en disant : « Tout m'est égal. » Quant à l'évêque, dont Tchékhov nous conte les derniers jours, comment ne pas songer à l'auteur lui-même, à bout de forces, encombré de sa gloire, assailli par les importuns, qui voit venir la mort et qui bientôt sera remplacé, oublié...

    mot du blogger : 3 nouvelles que j'ai pris beaucoup de plaisir à lire avec une préférence pour la première, la steppe, où il est question du voyage d'un petit garçon à travers la steppe. Un horizon qui n'en finit pas, le néant à perte de vue et quand même des hommes qui essaient de survivre dans ces espaces dépourvus de reliefs et de quoi que ce soit qui puisse faire rêver.
    extrait : "Mais au bout d'un moment, la rosée s'évapora, l'air redevient immobile et la steppe déçue reprit son aspect accablé de juillet. Les herbes baissèrent la tête, la vie s'évanouit. Les collines calcinées par la soleil,brun-vert , mauves au loi, avec leurs teintes mortes comme l'ombre, la plaine et ses lointains vaporeux et le ciel renversé sur elles, terriblement profond et transparent sur une steppe sans forêts et sans montagnes, tout maintenant semblait interminable, engourdi d'ennui."
    La nouvelle suivant, Salle 6 est l'histoire d'un médecin dans une bourgade russe, qui s'ennuie et qui se lit d'amitié avec un fou interné dans un asile pourri dont il a la charge. Il se lit tellement avec le  fou qu'il finit fou lui-même au point de finir lui aussi à l'asile. J'ai adoré les discussions très métaphysiques entre le médecin et le fou.
    J'ai souvent pensé que l'avenir du monde se jouait dans les asiles.
    Et l'Eveque, enfin, nouvelle très courte, sur les derniers jours de la vie d'un Eveque. (comme le dit l'éditeur n'est-ce pas, ce à quoi je n'ai rien à ajouter -))

    lecture du 06.03 au 12.03
    note : 4/5
    à venir : des souris et des hommes, John Steinbeck

  • dialogues dans les romans.


    Je suis en train de lire des souris et des hommes de John Steinbeck. Ce roman très célèbre comporte beaucoup de dialogues et c'est l'occasion pour moi de faire part d'un petit agacement que j'ai avec les dialogues. J'ai remarqué que très souvent, lorsque le dialogue dure depuis quelques lignes, je ne sais plus qui dit quoi et ce parce que l'écrivain préfère finir les phrases  par dit-il ou bien ne rien mettre du tout. Alors, je suis obligé de remonter et de compter avec mes doigts pour savoir lequel des personnages avait commencé le dialogue et redescendre et me retaper le dialogue en faisant attention à ne pas à nouveau perdre les pédales.
    Ah et tiens, tant que j'y suis, j'ai un autre agacement avec les dialogues. Souvent, en plein dans un dialogue et sans aller à la ligne, le narrateur fait une remarque sans signaler que cette remarque est bien du narrateur et non une partie du dialogue. Pour un lecteur un peu distrait (et je le suis souvent), la confusion est possible. Et l'idéal évidemment serait d'aller à la ligne pour insérer la remarque narrative ou alors tout simplement de fermer les guillemets avant la remarque et des les réouvrir après.

    Autant de raisons qui font que moins y'a de dialogues, mieux je me porte.

  • le top 10 de cent écrivains

    Télérama a eu la bonne idée de demander à 100 écrivains français de lister leurs dix livres préférés. Quoi qu'on dise de ce type d'exercice, ça donne quand même une idée des influences et il faut dire ce qui est, il n'y a rien de plus excitant que de se plonger dans ce type de listes.
    Les réponses sont assez variées et Marcel Proust avec à la recherche du temps perdu arrive largement en tête en étant cité 33 fois. Normal. Derrière on trouve Ulysse de James Joyce (cité 13 fois) (roman dont je n'ai jamais réussi à dépasser la page 10), Illiade et Odyssée d'Homère (9).
    Bon, jusque là, tout est normal.
    C'est après que ça se gâte...puisqu'arrive en 4ème position la princesse de Clèves de Mme de la Fayette. Ahurissant..et évidemment, on devine clairement que si le même questionnaire avait réalisé avant février 2006 ce roman ne serait pas apparu une fois. Mais on sait ce qui s'est passé entre temps. Nicolas Sarkozy a déclaré en 2006 que la présence de la princesse de Clèves dans la programme de recrutement de la fonction publique ne pouvait être l'initiative que d'un sadique ou d'un imbécile. Ça a fait tout un pataquès évidemment. Sarkozy illettré etc etc (alors que peut-être il aime ce roman, mais je m'en fous en fait).
    Tout ça, on s'en fout. De la déclaration de NS (purement anecdotique et à seule fin d'amuser la galerie) à la polémique qui a suivi (dans le microcosme littéraire, on aime bien se choisir des ennemis communs, des sortes de tête de turc qui symboliseraient tout ce que la France compte d'illettrés et de je-ne-sais-quoi).
    Par contre, ce qui m'apitoie, c'est de constater que pas mal de romanciers (dont Eric Reinhardt, ce qui me déçoit beaucoup) ont décidé de mettre la princesse de Clèves dans leur top10, sans doute par simple esprit militant ou par provocation. Je dis "sans doute" parce que je ne peux pas en être sûr. Mais en ma qualité de lecteur lambda, passionné de littérature, je ne crois pas que le roman de Mme de la Fayette fasse parti des 10 meilleurs livres du monde. Bon, je ne l'ai pas lu (je n'aime pas les romans avec des princesses écrits par des Mme de), c'est sans doute un bon roman mais si je ne l'ai pas lu, y'a une raison.
    Donc, en plus de détenir le pouvoir exécutif, NS détient celui d'influencer les goûts littéraires des écrivains. Chapeau. Donc voilà, si demain, Sarkozy dit qu'il n'a pas aimé Martine petite maman, alors il y a forte chance que Martine petite maman devienne un des grands romans de la littérature mondiale. Faut arrêter. J'imagine l'écrivain en train de se dire "et je vais mettre la princesse de clèves, ça va faire son petit effet car je vais être le seul et ça va montrer à des milliers de gens combien j'aime pas NS, ça va montrer que je suis un esprit libre et rebelle..."
    Ce soir, j'avais envie de m'énerver...pour une fois tiens.
    Et aussi de donner mon top 10 (qui change de temps en temps, avec quand même un noyau dur de 6 romans immuables) :


    - oeuvre-vie, Arthur Rimbaud
    - voyage au bout de la nuit, Louis-ferdinand Céline
    - le château, Franz Kafka
    - à la recherche du temps perdu, Marcel Proust
    - l'insoutenable légèreté de l'être, Milan Kundera
    - tante Julia et le petit scribouillard, Mario Vargas Llosa
    - Cendrillon, Eric Reinhardt
    - l'oeuvre, Emile Zola
    - l'enchanteur, Barjavel
    - le rivage des Syrtes, Julien Gracq

  • prix france culture-télérama 2009

    La sélection :

    • Les éclaireurs, d’Antoine Bello (éd. Gallimard)
    • Nous aurons toujours Paris, d’Eric Faye, (éd. Stock)
    • Un dieu, un animal, de Jérôme Ferrari (éd. Actes Sud)
    • Toute une affaire, de Sybille Grimbert (éd. Léo Scheer)
    • En enfance, de Mathieu Lindon (éd. P.O.L.)
    • L'usure des jours, de Lorette Nobécourt (éd. Grasset)
    • Un peuple en petit, d’Olivier Rohé (éd. Gallimard)
    • Un chien mort après lui, de Jean Rolin (éd. P.O.L.)
    • Journal intime d'un marchand de canons, de Philippe Vasset (éd. Fayard) *
    • Paris-Brest, de Tanguy Viel (éd. de Minuit)

    * mon choix.

    Et le lauréat est : les éclaireurs, Antoine Bello.

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