J'en ai suffisamment lu et entendu à droite et à gauche. Je vois pas ce que je peux dire qui puisse sortir du lot ou qui vaille simplement la peine d'être lu. Alors, il vaut mieux se taire. A contrario, un type qui n'aime pas Bashung et qui le dit clairement, arguments à l'appui, il a raison de faire une note. Et il l'a fait. Et je vous y convie. Par ici. (ô et je viens de découvrir que l'auteur de ce blog était l'auteur du tombeau de la variété française -)))
Bon, quant à moi, puisque je suis parti, autant continué. Je n'ai vraiment fait attention à Bashung qu'avec bleu pétrole. J'aimais déjà beaucoup ce qu'il avait fait avant (l'apiculteur, je passe pour une caravane) mais sans vraiment m'y être arrêté (mais je me souviens quand même d'une fin de soirée passée avec une personne, on écoutait la compil climax en buvant du calvados et en fumant des cigarillos, et tout ça était très grisant au propre comme au figuré). Mais bleu pétrole m'a franchement fait l'effet d'une bombe artistique..que le grand public va désormais découvrir. Mis à part deux titre inutiles et mal boutiqués (Suzanne et il voyage en solitaire), il n'y a aucun déchet dans cet album...
...qui est sombre, certes et donc contraire à ma vision du monde (puisque je suis posimiste - c'est à dire positif et optimiste, n'est ce pas) mais je peux aimer les contraires quand ils sont de qualité. Et cet album est de qualité...Et dans ma tête, j'entend ab chanter hier à Sousse, hier à Sousse, demain Paris...
Une jolie photo, chopée ici. bisous à tous

 Viva la vida, Coldplay :  première impression plus que positive. Des mélodies accrocheuses - comme toujours avec Coldplay - mais le tout est plus travaillé, plus fouillé que les précédents albums.  Plein de sons fusent de partout. Avec Brian Eno à la réalisation, il fallait s'y attendre.Bon, on n'arrive pas encore à la cheville de Radiohead mais ce n'est pas ce qui est recherché.
Viva la vida, Coldplay :  première impression plus que positive. Des mélodies accrocheuses - comme toujours avec Coldplay - mais le tout est plus travaillé, plus fouillé que les précédents albums.  Plein de sons fusent de partout. Avec Brian Eno à la réalisation, il fallait s'y attendre.Bon, on n'arrive pas encore à la cheville de Radiohead mais ce n'est pas ce qui est recherché. Sinon, il faut que je redise combien je suis sous le choc de bleu pétrole de Bashung, album que j'écoute en boucle du soir au matin. Hier à Sousse et le secret des banquises (j'ai des doutes sur le changement d'heure, en avez-vous ?) me donnent des frissons dans le bout des doigts (mon corps est bizarre pour ça). Paroles transcendantes et surtout, également ici, de vraies trouvailles sonores. Les cloches dans le secret des banquises ressemblent beaucoup à celle qu'on trouve dans sortir ce soir d'Etienne Daho. Pas le sentiment qu'il y ait plagia.
Sinon, il faut que je redise combien je suis sous le choc de bleu pétrole de Bashung, album que j'écoute en boucle du soir au matin. Hier à Sousse et le secret des banquises (j'ai des doutes sur le changement d'heure, en avez-vous ?) me donnent des frissons dans le bout des doigts (mon corps est bizarre pour ça). Paroles transcendantes et surtout, également ici, de vraies trouvailles sonores. Les cloches dans le secret des banquises ressemblent beaucoup à celle qu'on trouve dans sortir ce soir d'Etienne Daho. Pas le sentiment qu'il y ait plagia. 