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Colin sabre et tam-tam - Page 115

  • des jours et des lieux - Camors et environs. (1)

    On a une nouvelle mairie à Camors (Morbihan). Je commence à me dire qu'elle me plait..Un peu grande peut-être pour un bourg de 3000 habitants..mais au moins, on peut voir venir. La police municipale (qui n'existe pas...sauf dans mes rêves !) surveille déjà les lieux. N'est-il pas vrai que ça va avoir de l'allure pour un couple de nouveaux mariés de descendre ces marches ? Du coup, je vais peut-être réfléchir à la question. Enfin non, on va réfléchir..enfin non, on va pas réfléchir.

     

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    Loïc, 21h20

  • CR26 : Qui se souvient de David Foenkinos ? - David Foenkinos

    9685a7ee4e12be29f919c839403ffa70.jpgDans ce roman, David Foenkinos se met en scène et imagine sa vie après l'échec commercial de ses derniers romans. Il manque totalement d"inspiration.  Un jour, dans un train, il a une idée de roman. Mais au moment où, tout excité, il veut en faire part à sa femme, il ne se rappelle plus de son idée. Sa femme en raz le bol de son bonhomme d'écrivain looser et le quitte. L'écrivain tombe amoureux d'autres filles et se demande toujours comment il va faire pour retrouver son idée...Il décide de revivre la scène du train et se renseigne à la sncf pour connaître le nom de la fille dont il a croisé le regard le jour de l'Idée...et évidemment, il va tomber amoureux de la fille..

    Et l'idée, je ne sais même plus s'il la retrouve..tellement j'ai trouvé ce livre inintéressant, très premier degré, sans finesse et sans subtilité..Il y a bien deux ou trois scènes où l'on sourie mais ça s'arrête là. ça n'est pas la faute de David Foenkinos s'il manque de talent. Mais chapeau à lui quand même d'arriver à sa faire éditer chez Gallimard...et dans la Blanche. Et je crains hélas que ce roman soit à certains abords prémonitoire...

    Comme j'ai été fainénant, voici un petit passage où j'ai vaguement souri (p81) :

    Laurence me dit : "j'ai envie d'une cigarette.

    - Moi aussi. Je descends en acheter."

    Je me suis habillé rapidement. Nous n'avions pas fumé après l'amour depuis si longtemps. J'étais subitement plus jeune, et je voulais enchaîner des actes concrets. Le vendeur me tendit des Marlboro Light. On pouvait lire sur le paquet : "fumer provoque des troubles d'érection." Ce n'était pas le moment. Je rendis les cigarettes en demandant :

    " Pouvez-vous m'en donner un autre s'il vous plait ?

    - Un autre ?

    - Oui, celui-là, avec le cancer, par exemple..."

    ma note : 2/5

    Loïc

  • zone de réception (1) - 'les bienveillantes' de Jonathan Littell

    9ccc4098ecf37f67b177b6725f4d189b.jpgNouvelle rubrique dans laquelle il s'agira de suivre l'actualité de l'arrivée de livres dans la bibliothèque. Ne perdons pas de temps et commençons de suite avec la réception hier, samedi 23  d'un nouvel ouvrage. Interview de Chef Playmo :

    - qu'avez-vous réceptionné hier ?

    Il s'agit de les bienveillantes de Jonathan Little sorti  en poche courant janvier 08.

    - qu'est-ce que ce livre a de particulier ?

    son poids : il pèse 680 grammes, ce qui pour un poche est un record, en tout cas ici dans la bibliothèque de Loïc. J'ai du requisitionner toute l'équipe Playmo pour porter l'objet.

    - Loïc, vous avait-il averti de cet achat ?

    pas du tout ! il s'agit d'une vraie surprise..Hier, nous étions tous en train de dépoussiérer les Zola et nous ne nous attendions pas à cette arrivée.

    - A l'arrivée de l'objet, Loïc vous a-t-il donné des recommandations ?

    Tout à fait, à chaque fois, il nous remet une sorte de feuille de route. Pour les bienveillantes, il nous a dit qu'il n'était sans doute pas prêt de le lire et que donc, il fallait que le livre soit entreposé dans un endroit où il ne prenne pas trop la poussière et pas trop exposé à la lumière. Sinon, ce sont les recommandations habituelles concernant la sécurité.

    - Que savez-vous du livre en lui-même ?

    C'est le prix Goncourt 2006, ce qui signifie que nous accueillons dans la bibliothèque notre quatrième prix Goncourt après à l'ombre des jeunes filles en fleur de Marcel Proust, rue des boutiques obscures de Patrick Modiano et je m'en vais de Jean Echenoz. Toute l'équipe Playmo apporte un soin particulier aux ouvrages ayant reçu ce prix.

    Merci Chef Playmo, et à bientôt pour une nouvelle réception !

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  • CR25 : rien de grave - Justine Lévy

    Hier soir, ma machine à écrire était  en panne (le chariot qui coince encore...). Et pourtant, je me sentais bien inspiré pour écrire quelque chose sur ce petit roman de Justine Lévy que je venais de terminer. Je l'ai donc fait sur papier. Le voici. bon courage ! (j'offre un livre d'occase sans intérêt à qui saura me dire si j'ai aimé ou pas ce livre...)

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    Loïc

  • des jours et des livres (4) - relire 'Cendrillon' ?

    7b2f32fa745eeb2679149868cf4a0681.jpgSur le site Bibliobs où il m'arrive d'aller kékeufois, on conseille dans une récente note de relire Cendrillon d'Eric Reinhardt (Tant qu'à se plonger dans la dernière rentrée littéraire, je préconise aussi la relecture de Cendrillon, du divinateur Eric Reinhardt  ) et l'aube le soir ou la nuit de Yasmina Reza. Je rappelle pour bien montrer la stupidité du conseil que ce sont des livres qui ont quelques mois et que donc leurs nombreux lecteurs les ont lu il n'y a que quelques mois..Et il faudrait déjà les relire ? Cendrillon est un pavé de 600 pages..et suffisamment étincellant pour qu'on s'en rappelle des années après. Conseiller de le lire, soit...conseiller de le conseiller à d'autres gens, évidemment..mais il faudrait être stupide de le relire. Ou alors être amnésique.

    Ce qui me fait rebondir sur le nouvel obs, que j'ai reçu samedi dernier dans ma boite à lettre. Accompagné d'un offre d'abonnement alléchante évidemment, avec superbe stylo, lecteur dvd divx et écran plasma 109cm. Je l'ai parcouru donc car ce n'est pas si courant qu'un hebdo de gauche débarque à la maison..Suite à la lecture (juste en diagonale, faut pas exagérer), je me suis amusé à un jeu : compter le nombre de fois où le mot 'Sarkozy' apparait. Résultat : 57 fois, et évidemment, vous imaginez dans des articles assez acerbes à l'encontre du président. Ce qui est somme assez normal pour un tel hebdo. Mais quelle obsession quand même.

    Ce qui me fait rebondir sur la crainte qu'avait certains sur une soit disante censure des médias sous présidence Sarkozy...Aujourd'hui, quand on y pense ça fait sourire. Au moins, on peut être rassuré de ce côté-là. Ce serait difficile de dire le contraire. Pour le reste, sur le fond, j'ai le sentiment d'une fuite en avant....Et je suis à peu près contre tout ce que propose ou dit le président (sur la shoah, pub sur les chaînes publiques, place de la religion ) mais je  le respecte et je ne lui fais pas de procès d'intention. Il a été élu au suffrage universel. Le danger pour la démocratie, ce n'est pas Sarkozy mais c'est l'antisarkozysme ambiant érigé en sport national.

    Quant à moi, je suis libéral, certes, mais pas conservateur.

    Loïc 

     

  • l'hiver des poètes (3) - O.V de L. Milosz

    ab6ae0caab75a23125ca7cb84d7ac4e8.jpgJ'ai ramené ce soir de la maison qui me vit grandir la grosse anthologie de Bernard Delvaille intitulée 'mille et cent ans de poésie française'. L'idée ayant motivé ce rapatriment était de la vendre sur ebay avec une mise à prix de 20€ afin de pouvoir boucler mon budget alimentaire de février. Cependant, comme ce soir j'avais l'esprit un peu triste ( comme on l'est souvent le dimanche soir), je me suis plongé dans ce bouquin...mais pas longtemps, juste le temps quand même de tomber sur un poème de Milosz. C'est beau, ça parle de terrains vagues...et de quoi d'autre, je sais pas trop. Je ne l'ai pas vraiment saisi. Mais je vais essayer. En tout cas, c'est beau, avec plein de noms propres délicieux à prononcer.

    Comment m’es-tu venu, ô toi si humble, si chagrin ? Je ne sais plus.
    Sans doute comme la pensée de la mort, avec la vie même.
    Mais de ma Lithuanie cendreuse aux gorges d’enfer du Rummel,
    De Bow-Street au Marais et de l’enfance à la vieillesse

    J’aime (comme j’aime les hommes, d’un vieil amour
    Usé par la pitié, la colère et la solitude) ces terrains oubliés
    Où pousse, ici trop lentement et là trop vite,
    Comme les enfants blancs dans les rues sans soleil, une herbe

    De ville, froide et sale, sans sommeil, comme l’idée fixe,
    Venue avec le vent du cimetière, peut-être
    Dans un de ces ballots d’étoffe noire, lisse et lustrée, oreillers
    Des vieilles dormeuses des berges, dans les terribles crépuscules.

    De toute ma jeunesse consumée dans le sud
    Et dans le nord, j’ai surtout retenu ceci : mon âme
    Est malade, passante, comme l’herbe altérée des murs,
    Et on l’a oubliée, et on la laisse ici.

    J’en sais un qu’obscurcit un cèdre du Liban ! Vestige
    De quelque beau jardin de l’amour virginal. Et je sais, moi, que le saint arbre
    Fut planté là, jadis, en son doux temps, afin
    De porter témoignage ; et le serment tomba dans la muette éternité,

    Et l’homme et la femme sans nom sont morts, et leur amour
    Est mort, et qui donc se souvient ? Qui ? Toi peut-être
    Toi, triste, triste bruit de la pluie sur la pluie,
    Ou vous, mon âme. Mais bientôt vous oublierez cela et le reste.

    Quand venait l’hiver des faubourgs ; quand le chaland
    Voyageait dans la brume de France, qu’il m’était doux,
    Saint-Julien-le-Pauvre, de faire le tour

    De ton jardin ! Je vivais dans la dissipation
    La plus amère ; mais le cœur de la terre m’attirait
    Déjà ; et je savais qu’il bat non sous la roseraie
    Choyée, mais là où croît ma sœur ortie, obscure, délaissée.

    Ainsi donc, si tu veux me plaire —après ! loin d’ici ! toi
    Murmurant, ruisselant de fleurs ressuscitées, toi jardin
    Où toute solitude aura un visage et un nom
    Et sera une épouse,

    Réserve au pied du mur moussu dont les lézardes
    Montrent la ville Ariel dans les chastes vapeurs,
    Pour mon amour amer un coin ami du froid et de la moisissure
    Et du silence ; et quand la vierge au sein de Thumîm et d’Urîm

    Me prendra par la main et me conduira là, que les tristes terrestres
    Se ressouviennent, me reconnaissent, me saluent : le chardon et la haute
    Ortie et l’ennemie d’enfance belladone.
    Eux, ils savent, ils savent.

  • CR24 : Bel Ami - Guy de Maupassant

    cdf95f34763053a745a693e5e8fbdd08.jpgC'est avec beaucoup de mal que j'ai réussi à finir bel ami de Maupassant. Ce n'était sans doute pas le livre qu'il me fallait en ces temps où j'ai soif de modernité et de 'contemporainité'..et puis dans ce genre de héros arriviste que représente ici Georges Duroy, je préfère et de loin le Julien Sorel de Stendhal, plus sentimental et plus lyrique. Il y a quand même de bonnes pages où l'on rigole de bon coeur (notamment lorsque Georges se moque du côté un peu gamine-naïve-qui en fait trop de Mme Walter) .Mais dans l'ensemble, j'ai trouvé que ça manquait de souffle et d'ambition. Bel-ami est un petit roman sympa sans plus.

    Du même auteur, je garde par contre un excellent souvenir de une vie étudié à l'école.

    Sur ordre de ma petite soeur, je dois lire rien de grave de Justine Lévy pour mardi soir. J'aime bien qu'on me donne ce genre d'ordre. En contrepartie, je lui ai demandé de finir doggy bag 1 de Djian. En effet, elle en a lu cinquante pages et trouve que ça ressemble à un banal Harlequin...Le temps oeuvre pour l'oeuvre de Djian. La postérité saura reconnaître les grands.

    Loïc

  • la musique de la vie (8) - tombés pour daho

    1a8b3cf26b4d3d91bbedaa0378074f0d.jpgJe viens de faire un tour rapide de cette compil de reprise spécial daho et le seul truc qui m'a botté est le titre chanté par Daniel Darc (tiens tiens). Il s'agit de les promesses, une chanson de Daho qui j'aime particulièrement, bien que sonnant très 80'S. Et bien, Darc arrive à lui donner une nouvelle dimension avec de jolies trouvailles sonores et une batterie bien dosée et très obsédante. J'avais déjà pu constater le talent du type à l'écoute de son dernier single (j'irai au paradis) titre qui procure une vraie bouffée d'oxygène. Et puis ensuite, en fouillant dans son 'back catalogue' (à force de fréquenter des forums branchés, c'est fou ce que j'enrichis mon vocabulaire -)), je m'aperçois que c'est lui qui chantait je me rappelle, je me souviens titre que j'écoutais beaucoup au début de ce siècle sans connaître le nom du chanteur  (je croyais en fait que c'était Doriand !). Donc voilà. Rendons à César..Darc manque sans doute de tolérance mais il semblerait qu'il soit doué de talent.

    Quant à Daho..que dire. Je n'écoute que très peu son dernier album..et quand je l'écoute, ce ne sont que trois titresa0e6bdf71fbdf84a8b32c0ac093e61fd.jpg (un merveilleux été, la vie continuera, cap falcon)..mais je m'en lasse vite. A partir de là, j'ai pris la décision de ne pas aller le voir à Rennes en mai. décision difficile tant elle semblait impensable il y a encore quelques mois...Décision confortée par le nom de la tournée : Obsession Tour, du nom du 2ème single tiré de l'invitation..que je ne supporte pas. Et que d'ailleurs, on n'entend quasiment jamais.

    Il y a quand même quelque chose à tirer de l'invitation. Ce sont les 5 reprises et notamment le sublissime Glad to be unhappy de Billie Holiday, qui me fait - et sans bien comprendre pourquoi - me rappeler certains noels au coin du feu en famille il y a très longtemps. C'était un hiver où l'on entendait à la radio  i just call ta say i love you de Steevie Wonder et un titre de Yazz, l'un de premiers groupe à faire de la house commerciale.

    Je termine tranquillement Bel-Ami de Maupassant..J'en parle très vite ici. Suite à quoi, il est possible que ma nouvelle coqueluche littéraire se nomme David Foenkinos (pour peu que me plaise son roman qui se souvient de David Foenkinos que je viens d'acheter).

    Loïc (de Maubert)

  • la vie du blog (3) - nouveau nom !

    eefcb7f1d310e361776b706a3e8ff504.jpgEt oui je commençais à me lasser de l'ancienne thématique...Par contre, je vous rassure, l'esprit reste le même. Ceci est un blog vigilant où pour l'essentiel je fais part de mes impressions de lectures...J'essaie tant bien que mal de le faire sur un ton décalé, avec un brin de cynisme et pas mal de second degré. j'essaierai donc de continuer à vous donner le poids des livres lus, leur dimension et éventuellement leur odeur. Et accesoirement, je parlerai peut-être de ce qu'il y a 'marqué dedans'.

    J'ai de la chance quelque part. Je finis à ma journée à 17h30, passe à la pointeuse (et oui..)..suite à quoi, terminado. Je ne repense plus du tout au boulot avant le lendemain 9heures. No stress donc. La contrepartie, c'est une petite paye. Mais on s'en sort bien. (je dis 'on' parce que je suis quatre).  Je mange à ma faim, j'ai un abri pour dormir et puis j'achète à peu près tous les livres dont j'ai envie. le bonheur. Et puis même dans la journée, tout en étant physiquement au boulot, je revasse souvent, pense à des trucs bizarres et je souris tout seul pendant que les machines machinent et que les employés s'emploient (ou se font exploiter, c'est comme on veut).

    Tous les jours sur ma page d'accueil personnalisée de google, j'ai une citation. Celle d'aujourd'hui est d'un certain Charles Kingsley et il dit : Nous agissons toujours comme si le confort et le luxe étaient essentiels à notre existence, alors qu'il suffit pour être réellement heureux de trouver quelque chose qui nous intéresse passionnément. Evidemment je partage cette opinion...J'en ai marre d'entendre les gens se plaindre 'oui, suis pas assez payé', 'oui la vie est dure'..alors qu'il ya tant de choses à faire en ce monde qui ne dépendent pas de l'argent et de diverses choses matérielles. Eric Reinhardt disait que compte tenue du fait que l'économie était devenue folle et parfois inhumaine, il fallait vivre 'poétiquement'. (au sens large du terme évidemment puisqu'il ne s'agit pas de se mettre à écrire des vers du matin au soir). C'est essentiel de vivre poétiquement...mais j'ajouterai aussi cyniquement. ça se discute mais perso, j'ai trouvé dans cette forme de philosophie de vie (puisque je parle plus de la philosophie que du premier sens du terme..quoi que) une certaine satisfaction.

    Et je trouvais qu'Antoine Doinel mettait quelque part, un peu tout ça en pratique.

    Loïc

  • la vie du blog (2) - blog vigilant

    ff9a9f7839159ae20b2dfb3afe479242.pngM'étant souvent demandé pourquoi tant de blogs mettaient ce logo en illustration je me suis renseigné sur la question..suite à quoi j'ai décidé moi aussi de devenir un blogueur vigilant, ce que, de toute façon j'ai toujours été. Déjà tout petit, lorsque je jouais dans les prés et les bois, je refusais obstinément de grimper dans les arbres contrairement à mes petits camarades qui n'avaient peur de rien.

    Aujourd'hui, je suis un mec plutôt vigilant et encore plus depuis que je suis l'heureux papa de deux gamines adorables (mais pas très intrépides non plus). Par exemple, nous habitons dans un bourg qui devrait être paisible s'il n'était pas traversé par une départementale fréquentée par 5000 véhicules par jour. Alors évidemment, on emprunte les passages cloutés et on fait toujours attention de toute façon.

    La vigilance aussi devant les bêtises qu'on entend à la télé et qu'on voit à la radio. C'est incroyable tout ce qu'on arrive à faire rentrer comme conneries dans la tête des gens par pure démagogie et par ce que c'est ce qu'ils ont envie d'entendre..vigilance sur internet aussi évidemment, face aux trolls par exemple. Je précise quand même qu'un troll n'est pas quelqu'un qui ne pense pas comme vous (je dis ça parce que nombre de blogs de gauche considèrent comme des trolls des gens qui sont de droite, et uniquement pour ça). Un troll c'est quelqu'un qui poste un truc anonymement, un truc qui n'a rien à voir avec la note et qui souvent se trouve être insultant. Vous pensez bien que je n'ai jamais été de ces gens (et pourtant si vous saviez ce que j'ai pu prendre -))).

    Etre libéral (ce que je suis), c'est avant tout une philosophie de vie. C'est place l'être humain en tant qu'individu avant toute chose et le laisser libre de ses actes (dans la mesure des lois et des conventions sociales). Le libéralisme économique passe après. C'est peu de chose. Je suis plutôt de ce côté-là socio-libéral mais là n'est pas la question.

    Donc, bienvenue sur un blog vigilant !

    Et vive Obama, futur président des States !

    Dans quelques jours, compte-rendu  de 'bel-ami' de Maupassant.

    Loïc