présentation de l’éditeur : L'un est le grand explorateur Alexander von Humboldt (1769-1859). Il quitte la vie bourgeoise, se fraye un chemin à travers la forêt vierge, rencontre des monstres marins et des cannibales, navigue sur l'Orénoque, goûte des poisons, compte les poux sur la tête des indigènes, rampe dans des cavités souterraines, gravit des volcans, et il n'aime pas les femmes. L'autre est Carl Friedrich Gauss (1777-1855), "Prince des Mathématiques" et astronome. Il saute de son lit de noces pour noter une formule, étudie la probabilité, découvre la fameuse courbe de répartition en cloche qui porte son nom, calcule l'orbite de la planète Cérès avec une exactitude effrayante, et il déteste voyager. Un jour, cependant, Humboldt réussit à faire venir Gauss à Berlin. Que se passe-t-il lorsque les orbites de deux grands esprits se rejoignent ? Deux fous de science - leur vie et leurs délires, leur génie et leurs faiblesses, leur exercice d'équilibre entre solitude et amour, ridicule et grandeur, échec et réussite - rendus tangibles grâce à l'humour et l'intelligence d'un jeune prodige de la littérature allemande.
mon avis : Comme je ne suis pas du tout inspiré, hop, je balance une présentation de l’éditeur, ça permet de noircir du blog à peu de frais.
Je n’ai pas aimé ce roman. Mal boutiqué, bancal, je me suis ennuyé du début à la fin. L’idée était pourtant originale mais il semble que l’auteur ait eu les yeux plus gros que le ventre. Le roman a connu un succès mondial à sa sortie..mais ça ne veut rien dire évidemment..nombreux de fans de mathématiques ont dû se précipiter dessus.
roman , paru en 2005
traduit de l’allemand par Juliette Aubert (en 2007)
babel (n°940), 299 pages
lecture du 24 au 31 août 2010
note : 1/5
Sous la forme d’un conte, l’auteur allemand Edgar Hilsenrath (auteur du nazi et le barbier) raconte l’histoire d’une famille arménienne vers la fin du XIXème siècle jusqu’au génocide dont fut victime la quasi-totalité de la population arménienne entre 1915 et 1916.
Du jour au lendemain revient à le rentrée m’a appris l’un de mes commentateurs. Et en effet, 
Vous connaissez tous cette intraitable mélancolie qui s’empare de nous au souvenir des temps heureux. Ils se sont enfuis sans retour ; quelques chose de plus impitoyable que l’espace nous tient éloignés d’eux. Et les images de la vie, en ce lointain reflet qu’elles nous laissent, se font plus attirantes encore. Nous pensons à elles comme au corps d’un amour défunt qui repose aux creux de la tombe, et désormais nous hante, splendeur plus haute et plus pure, pareil à quelque mirage devant quoi nous frissonnons...

Trois semaines me séparent de la lecture de ce roman qui fait partie de ma suite allemande dont toute la blogosphère m’envie. Trois semaines pendant lesquels beaucoup d’automobiles (et quelques vélocipèdes) ont tourné autour de tous les ronds points que comptent le monde (et dont le plus fleuri est celui du 

Je n’ai pas lu une ligne depuis quelques jours. Il faut dire que les premières pages du jeu des perles de verre m’ont laissées dubitatif. Et puis, avec 12 romans lus en juillet, j’ai comme une envie de souffler...et puis j’ai repris le boulot aussi...et puis je bricole pas mal dans le jardin.