 Trois semaines me séparent de la lecture de ce roman qui fait partie de ma suite allemande dont toute la blogosphère m’envie. Trois semaines pendant lesquels beaucoup d’automobiles (et quelques vélocipèdes) ont tourné autour de tous les ronds points que comptent le monde (et dont le plus fleuri est celui du pont de Baud dont je parlais dans une précédente note).
Trois semaines me séparent de la lecture de ce roman qui fait partie de ma suite allemande dont toute la blogosphère m’envie. Trois semaines pendant lesquels beaucoup d’automobiles (et quelques vélocipèdes) ont tourné autour de tous les ronds points que comptent le monde (et dont le plus fleuri est celui du pont de Baud dont je parlais dans une précédente note).
 Je n’ai pas fait la grimace en refermant définitivement le livre de Boll car c’est un excellent roman, agréable à lire, amusant et en même temps triste comme peut l’être un clown malheureux. C’est un roman où il est question, donc, d’un clown issu d’une famille riche et protestante. Depuis que Marie, son amie catholique l’a quitté, il n’arrive plus à faire rire les gens. Il est fauché comme les blés et rumine ses années passées avec Marie. Il en veut à beaucoup de monde, il en veut aux religions (il en est beaucoup question) mais il n’est pas non plus athée. Et je ne sais plus comment ça finit.
 Mais c’est l’un des meilleurs romans de ma suite allemande.
 Heinrich Boll (avec mon p..... de clavier, je n’arrive plus à mettre les trémas sur les voyelles) est décédé en 1985. Il est considéré comme l’un des plus grands auteurs allemands de l’après-guerre. Il fut d’ailleurs le leader du groupe 47, un groupe d’écrivains très célèbre outre-rhin. Mais là, je n'ai plus lu une ligne depuis quinze jours..et ça va pas reprendre ce weekend puisque je vais monter un abri de jardin.
roman , paru en 1964
 traduit de l’allemand par S. et G. De Lalène
 Points, 282 pages
 lecture du 26 au 28/07/10
 note : 4.5/5

 Je n’ai pas lu une ligne depuis quelques jours. Il faut dire que les premières pages du jeu des perles de verre m’ont laissées dubitatif. Et puis, avec 12 romans lus en juillet, j’ai comme une envie de souffler...et puis j’ai repris le boulot aussi...et puis je bricole pas mal dans le jardin.
Je n’ai pas lu une ligne depuis quelques jours. Il faut dire que les premières pages du jeu des perles de verre m’ont laissées dubitatif. Et puis, avec 12 romans lus en juillet, j’ai comme une envie de souffler...et puis j’ai repris le boulot aussi...et puis je bricole pas mal dans le jardin. Ayant lu beaucoup de romans en juillet (une petite dizaine sans doute), l’intendance a du mal à suivre..et mon cerveau aussi..d’ailleurs, en ce début d’août, j’ai commencé sans trop y croire le jeu des perles de verre de Hermann Hesse. Ce pavé n’était pas prévu au programme mais je suis retombé dessus par hasard en fouinant dans mon arrière bibliothèque. C’est un bouquin que j’ai acheté il y a pas mal d’années, l’un de mes premiers achats sur le net je crois. Sa lecture va être longue (si j'arrive au bout).
Ayant lu beaucoup de romans en juillet (une petite dizaine sans doute), l’intendance a du mal à suivre..et mon cerveau aussi..d’ailleurs, en ce début d’août, j’ai commencé sans trop y croire le jeu des perles de verre de Hermann Hesse. Ce pavé n’était pas prévu au programme mais je suis retombé dessus par hasard en fouinant dans mon arrière bibliothèque. C’est un bouquin que j’ai acheté il y a pas mal d’années, l’un de mes premiers achats sur le net je crois. Sa lecture va être longue (si j'arrive au bout). Paul Nizon est un écrivain suisse de langue allemande, ce en quoi il a tout à fait sa place dans cette série.
Paul Nizon est un écrivain suisse de langue allemande, ce en quoi il a tout à fait sa place dans cette série. Permettez que je mette un peu de couleur dans les caractères..et du bleu comme le ciel breton sans interruption depuis le début des vacances (et même bien avant).
Permettez que je mette un peu de couleur dans les caractères..et du bleu comme le ciel breton sans interruption depuis le début des vacances (et même bien avant). Le cycle allemand continue  vaille que vaille et que coûte que coûte. J’avoue que j’y prends goût (à tel point que j'ai l'intention de prolonger l'aventure germanique).
Le cycle allemand continue  vaille que vaille et que coûte que coûte. J’avoue que j’y prends goût (à tel point que j'ai l'intention de prolonger l'aventure germanique). Un ancien gardien de but devenu monteur dans une usine disjoncte suite à ce qu’il croit être son licenciement. Son comportement devient étrange et il erre dans la ville s’étonnant de tout. Il en arrive à tuer une caissière de cinéma et il fuit la ville pour se réfugier dans un village du sud de l’Allemagne (ou peut-être de l'Autriche) espérant y retrouver une ancienne amie. Dans le village, Bloch continue à débloquer. L’étau se resserre autour de lui mais il ne s’en inquiète pas outre mesure.  Il revient en ville et assiste à un match de foot au cours duquel le gardien arrête un pénalty. Le roman s’arrête sur ce fait de jeu.
Un ancien gardien de but devenu monteur dans une usine disjoncte suite à ce qu’il croit être son licenciement. Son comportement devient étrange et il erre dans la ville s’étonnant de tout. Il en arrive à tuer une caissière de cinéma et il fuit la ville pour se réfugier dans un village du sud de l’Allemagne (ou peut-être de l'Autriche) espérant y retrouver une ancienne amie. Dans le village, Bloch continue à débloquer. L’étau se resserre autour de lui mais il ne s’en inquiète pas outre mesure.  Il revient en ville et assiste à un match de foot au cours duquel le gardien arrête un pénalty. Le roman s’arrête sur ce fait de jeu. Franz Biberkopf est un type un peu naïf, un peu crapule et un brin alcoolique. Il sort juste d’une prison des environs de Berlin et Il s’adonne à de petits métiers plus ou moins honnêtes. Il traine souvent aux alentours de Alexanderplatz, un quartier populaire où gravitent pas mal de gens un peu louches (petits bandits, racaille, souteneurs).
Franz Biberkopf est un type un peu naïf, un peu crapule et un brin alcoolique. Il sort juste d’une prison des environs de Berlin et Il s’adonne à de petits métiers plus ou moins honnêtes. Il traine souvent aux alentours de Alexanderplatz, un quartier populaire où gravitent pas mal de gens un peu louches (petits bandits, racaille, souteneurs). le 30 janvier 1945, le paquebot
le 30 janvier 1945, le paquebot