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  • dans le radio-cassette : la notte la notte, Etienne Daho

     

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    Dans ce deuxième album d'ed, il y a évidemment weekend à Rome qu'on ne présente plus, standard des années 80, maintes fois remixé depuis et que je réécoute avec plaisir et nostalgie. Le titre de l'album fait référence à la fin de cette chanson où Daho répète plusieurs fois "la notte la notte". De cet album, le grand public connait également le grand sommeil, qui a connu dans les 2000 à l'occasion du tour de l'été sans fin, un remix technoisant qui m'avait franchement renversé. On trouve également dans la notte la notte, Promesses, titre peu connu mais que j'adore, sortir ce soir qui a connu une seconde jeunesse à l'occasion du réévolution tour en 2004. Saint-Lunaire dimanche matin charme aussi l'auditeur, surtout s'il a connu Saint-Lunaire, le dimanche matin. Très bon album que j'écoute au moment où j'écris cette notte, cette notte. Un album avec des sonorités très années 80 évidemment (avec saxo et tout et tout) mais qui ne vieillit pas si mal.

  • le printemps des poètes.

    181008 (11).JPGMes deux filles

    Dans le frais clair-obscur du soir charmant qui tombe,
    L'une pareille au cygne et l'autre à la colombe,
    Belle, et toutes deux joyeuses, ô douceur !
    Voyez, la grande soeur et la petite soeur
    Sont assises au seuil du jardin, et sur elles
    Un bouquet d'oeillets blancs aux longues tiges frêles,
    Dans une urne de marbre agité par le vent,
    Se penche, et les regarde, immobile et vivant,
    Et frissonne dans l'ombre, et semble, au bord du vase,
    Un vol de papillons arrêté dans l'extase.

    Victor Hugo

  • zéro actualités (2) : des nouvelles du monde !

    Aujourd'hui, carton plein. Aucune information ne m'est parvenue. Juste un fait divers qu'ion m'a raconté et qui m'a fait sourire. Le voici : hier (ou avant-hier), à Rennes, le patron d'un magasin sort la caisse du jour pour l'emmener à la banque mais il l'oublie sur le toit de sa voiture. Quand il démarre, la valise s'ouvre et tous les billets s'envolent. Le patron regarde dans son rétro et tout de suite se rend compte de son étourderie. Trop tard : un embouteillage s'était déjà formé, tous les automobilistes présents sur les lieux s'étant arrêtés pour courir après les billets. Il y en avait pour 5000€, ce qui signifie plus de 200 billets. Il parait qu'il y a eu un joyeux bordel pendant 1 heure dans la rue de la route de Lorient.
    C'est une version qu'on m'a donné. Je ne fais que répéter. C'est tout ce que je peux dire. Alors que vous qui me lisez, vous avez les moyens d'en savoir plus. Et pour ce, il faut aller sur le site du Ouest-France.

    bon week-end.

  • zéro actualités (1) : des nouvelles du monde !

    des nouvelles du monde.

    IMGP2962.JPGQuelques bribes d'information me tombent dessus par inadvertance et aussi parce qu'il arrive que je baisse la garde. Ce midi par exemple, je suis tombé nez à nez avec une sucette du Télégramme. J'aurais dû préalablement me méfier puisque je savais qu'en passant devant un tabac, il y avait un risque. Et qu'ai-je donc eu le temps d'y lire (avant d'obliquer brutalement pour éviter la suite) ? "chômage : augmentation record".
    Allez prends ça. L'information m'a juste confirmé dans l'idée qu'il fallait que je continue ma vie sans actu. Mais en matière économique, le prix du gazole qui s'affiche tous les matins devant moi lorsque je vais au boulot m'apporte quelques indices :
    1 - comme il est stable depuis une semaine, cela signifie qu'il n'y a pas de conflit géo-politique majeur dans un endroit sensible du monde (genre Iran)
    2 - que les traders n'ont toujours pas envie d'acheter du pétrole et que donc, cela signifie qu'aucun chiffre macro-économique n'est venu leur redonner confiance.

    Autre info qui m'est parvenue : lors d'une discussion avec des collègues, un type s'est mis à parler d'événements en Guadeloupe. Et en effet, je me souviens qu'avant la coupure, il y avait comme un début de soulèvement là-bas. Donc, je me suis laissé dire que ça continuait et que ça se serait propagé à l'Ile de la Réunion. Mais je n'en sais pas plus (cause et ampleur du mouvement, morts ou pas etc). Et comme le collègue en question a vu mon air incrédule, il m'a demandé un truc comme "mais t'as bien entendu ça aux infos non ?". Je lui ai répondu "non". Un autre gars a rigolé comme si ça lui paressait insensé. J'ai quitté le groupe habité de deux sentiments contradictoires : à la haine d'avoir dû subir une information sans n'avoir rien demandé cohabitait la fierté de passer pour une sorte d'ermite coupé du monde. 

    C'est presque tout. Je m'en tire pas trop mal. Ah si j'oubliais : un type m'a dit que l'acteur Mous Diouf avait été victime d'un accident vasculaire. On lui souhaite un prompt rétablissement évidemment. Mais perso, je ne connais Mr Diouf que de nom.
    Donc je me disais que je m'en tirais pas trop mal car ça demande une concentration permanente, une vigilance de tous les instants...car la pression médiatique est telle qu'elle transpire de partout. Mais j'ai le sentiment que le début de cette expérience (il y a 8 jours) coïncide avec une période où l'actualité est plutôt plate. Maintenant, est-ce que je m'arrête au 28.02 ou pas. Je sais pas, je sais plus. On verra.

  • CR78 - l'absolue perfection du crime - Tanguy Viel

    v_2707319449.jpgmot de l'éditeur : Marin, Andrei, Pierre, c'étaient tous des caïds. Et dans ce monde de traîtres, leur disait l'oncle, pour que " la famille " survive, il faut frapper toujours plus fort. Alors quand Marin est sorti de prison, lui, le neveu préféré, il a dit : le hold-up du casino, ça nous remettrait à flot.

    mon avis : Contrairement à ce que laisse présager le titre, la photo en couverture ainsi que la date de naissance de l'auteur (1973...), ce polar n'a pas beaucoup d'intérêt. Il est plaisant à lire, certes le récit est haletant, j'en conviens, (comme dans tout polar qui se respecte). Mais j'ai regretté que dans une histoire aussi convenue (qui m'a rappelé les romans de José Giovanni ou certains  films avec Lino Ventura et Jean Gabin ), l'auteur n'adopte pas un ton plus décalé et plus ironique, à la façon d'un Jean Echenoz qui sait faire de grands romans avec des intrigues minimales.
    Ceci dit, je donnerai une seconde chance à Tanguy Viel. Peut-être avec Paris-Brest, son dernier roman qui fait parti de la sélection finale pour le 4ème prix du livre France-Culture Télérama. Je reparlerai dans une future note de ce prix qui associe deux médias dont je suis très friand.

    Un avis que je partage ici.

    lecture : 22/02/09
    note : 3/5
    à venir : pastorale américaine, Philip Roth

  • zéro actualités

    Ça fait une semaine que je me suis coupé de l'actualité. Au début, c'était un jeu : j'aime bien me fixer de petits défis afin d'agrémenter le quotidien. Un jeu mais pas seulement puisque j'en ai un peu marre de la morosité ambiante savamment entretenue par des journalistes (télé, radio, presse, internet) qui ont tout à y gagner. Un peu marre du superficiel, de l'actualité traitée en surface, un peu marre des contre-vérités etc. Trop c'est trop. Donc, depuis le 17.02 black-out.
    Le plus facile a supprimer, c'est la télé. En plus des fameux jt, toute émission où l'on traite de près ou de loin de l'actualité est bannie (c'est dans l'air, ce soir ou jamais, envoyé spécial...). Tout le reste peut se regarder à condition que l'on n'y traite pas d'actualité.
    En voiture, je n'écoute que des radios musicales ou france culture pour tout ce que est purement culturel. Parce que la culture fait exception (ainsi que le sport). J'accepte l'information culturelle (par exemple, arte-culture sur arte) et sportive (tout le sport sur france3).
    Sur internet, j'évite tous les portails de type yahoo, msn etc etc.
    Je n'achète plus de journaux.

    Mais il y a des couacs évidemment. Samedi dernier par exemple, alors que je passais en caisse dans une maison de la presse, j'ai dû me farcir un flash info qui passait à la radio du magasin. La haine. Comme je ne pouvais pas me boucher les oreilles, au risque de passer pour un fou, j'ai commencé à parler bêtement avec la vendeuse de tout et de rien (ce que je ne suis pas du tout habitué à faire). Hélas, j'ai vaguement entendu un début d'info (concernant la fusion de deux banques..mais je ne saurais dire lesquelles...Ouf)
    Les couacs, ce sont aussi les discussions que je  peux avoir avec des collègues ou amis. Untel me dit "tiens, t'a entendu à la télé que...". Ça a juste failli arriver une fois mais j'ai interrompu brutalement la personne avant.

    Mon premier sentiment après une semaine sans actualités, c'est qu'on vit très bien et que je me dis que c'est fou comme les événements de nos quotidiens sont indépendants de l'actualité. Prenons le cas de la "crise" (dont on doit toujours parler depuis le 17.02). Et bien, je me dis que cette crise n'existe dans l'esprit des gens que parce que les médias en parlent. On en a connaissance que par eux. Quiconque serait comme moi coupé des médias, mais depuis plus longtemps, admettons 1an, ne se serait pas rendu compte par lui-même de la crise.
    Pour moi, une information n'a d'importance que si elle impacte directement notre quotidien. Le reste n'est que balivernes de journalistes. Et qu'on ne me dise pas que je suis égoïste, que je pense pas aux autres, à la misère dans etc. C'est faux mais je n'ai pas besoin de médias pour deviner et comprendre le destin du monde.

    Et puis, j'ai toujours préféré l'intemporel ou temporel, l'histoire à l'anecdote. Et c'est la raison pour laquelle, je préfère comprendre le monde par l'art plutôt que par l'actualité.
    Et là, je vais continuer, au moins jusqu'au 28.02. Ensuite, je continuerai par défaut mais serai moins rigide. Ne serait-ce que pour ma femme, qui n'est pas obligé de subir mes délires. Donc, je laisserai l'information venir à moi, si elle veut mais je n'irai pas la chercher.
    Là, je suis dans pastorale américaine de Philip Roth et j'y apprends 100 fois plus sur notre monde contemporain que tous les jt de la planète alignés.

    bye.

     

  • CR77 - insecte - Claire Castillon

    9782213625065.jpgmot de l'éditeur : Insecte évoque les rapports entre les mères et les filles. Dix-neuf nouvelles qui sont l’expression libre de sentiments intenses, de pensées fulgurantes, irréelles quelquefois, qui s’installent pourtant sans relâche dans la tête des mères et des filles. Dans ces nouvelles, les pensées fugitives deviennent des récurrences, des poids, des raisons de vivre. La mère est un insecte et la fille son insecte. Vice-versa. Mante religieuse, lézard ou coccinelle, les femmes étudiées à la loupe ont sans doute des vies à facette.

    mon avis : lecture jubilatoire s'il en est. Ce livre m'a été fortement conseillé par la bibliothécaire de Camors après que j'eus lu et approuvé une autre oeuvre de la dame. C'est un recueil de nouvelles a qui on peut accoler pas mal d'adjectifs : savoureux, brillant, fin, subtil, hilarant, glaçant, dérangeant, pétillant. Ça se boit comme du petit lait. Je conseille fortement.

    C'est ma fierté d'être français que de compter parmi mes concitoyens tant d'esprits subtils. Et modestes avec ça. Pas fiers. Les américains sont tellement jaloux de nous qu'ils s'inventent des fausses morts de la culture française, histoire de se rassurer.

    lecture les 18 et 19 février 2009

    note : 4.5/5

  • CR76 - les accommodements raisonnables - Jean-Paul Dubois

    9782879295541.jpgmot de l'éditeur : Le grand roman de Jean-Paul Dubois très attendu depuis "Une Vie française". Jean-Paul Dubois retrouve le souffle romanesque d"Une Vie française" dans ce livre qui devrait enthousiasmer ses fans. Aucun des « fondamentaux » ne manque à l’appel : Toulouse, un anti-héros (Paul Stern) et son épouse (Anna), un père encombrant, l’actuel président de la République, l’Amérique, les bateaux, les petits-enfants, etc. Cette fois, Jean-Paul Dubois nous conduit à Hollywood. Paul doit y réécrire le scénario d’un film dont il est l’auteur, pour le compte d’un producteur qui prétend en tirer un remake. En réalité, Paul est parti pour oublier la maladie de sa femme, en dépression profonde, le remariage scandaleux de son père et, de manière plus générale, son échec personnel. Embauché par la Paramount, il découvre un autre univers où le sexe, l’argent, la drogue, la célébrité, mais aussi le désespoir occupent une place centrale. Et puis, il rencontre Selma Chantz, employée comme lui par la Paramount. Et sa vie bascule. Car Selma est le double parfait d’Anna, avec trente ans de moins…Une femme fascinante et dangereuse.
    Après un détour par le comique ( Monsieur Tanner) et l’inquiétante étrangeté ( Hommes entre eux ), Jean-Paul Dubois a écrit le grand roman que nous attendions. Tragique et drôle, jetant sur son époque un regard lucide, ce livre de la maturité garde néanmoins le charme des héros de Jean-Paul Dubois, éternels adolescents écartelés entre leur amour de la vie et leur sens aigu de la culpabilité.

    mon avis : En dehors de quelques scènes hilarantes (dont celle du crématorium au début), j'ai trouvé ce livre plutôt moyen. Agréable à lire, certes mais bien en dessous de Djian (qui écrit un peu ce type de choses avec jet-setters cyniques, drogue, sexe et tout et tout), mais peut-être quand même un peu au dessus de Foenkinos (dont les romans sont anecdotiques).
    Mais il se dégage quand même du roman,  cette idée que les étapes de nos vies ne sont que des successions d'accommodements raisonnables (avec 2 m à accommodements, à bons entendeurs salut) , que pour sauvegarder les apparences, nous devons sans cesse faire des compromis et tirer un trait sur d'autres possibles.
    Par ailleurs, j'aime beaucoup la couverture. Elle m'avait tapé à l'oeil dès la sortie du livre. Et je l'aime tellement qu'elle suffirait presque à me faire acheter ce livre (que j'ai emprunté pour cette lecture) et ce même bureau avec des tiroirs que d'un côté, mais peut-être pas la même chaise, encore que, dans un certain cadre pourquoi pas. Je me demande si on ne va pas revenir à une forme de rustique après cette folie du mobilier contemporain carré et translucide façon ikea.

    lecture du 13.02 au 17.02.09
    note : 3/5
    à venir : insecte, Claire Castillon

     

  • CR75 - la vie mode d'emploi - Georges Pérec

    IMGP6154.JPGrésumé (piqué sur wikipedia, oui je sais, je suis un peu fainénant ces temps-ci) : L'œuvre retrace la vie d'un immeuble situé au numéro 11 de la rue (imaginaire) Simon-Crubellier, dans le 17e arrondissement de Paris, entre 1875 et 1975. Elle évoque ses habitants, les objets qui y reposent et les histoires qui directement ou indirectement l'ont animé. Comme dans le tableau idéal de Valène, le professeur de peinture de l'immeuble, le lecteur découvre « une longue cohorte de personnages, avec leur histoire, leur passé, leurs légendes », comédie humaine où les destins entrecroisés se répondent, à l'image de la curieuse création de l'ébéniste Grifalconi, « fantastique arborescence », « réseau impalpable de galeries pulvérulentes ». Gravures populaires, tableaux de maître, affiches publicitaires offrent l'occasion d'autant de digressions et de récits : faits divers, rigoureuse description scientifique, recette de cuisine, listes en tout genre. De cette tentative d'inventaire et d'épuisement d'une portion de réel, surgissent des figures propres à l'imaginaire perecquien : escrocs et faussaires, aventuriers, savants faustiens, génies méconnus ou incompris, invalides et miraculés, milliardaires ruinés, inventeurs, négociants, humbles domestiques anonymes.

    mon avis : je pense qu'avec ce livre, Pérec a atteint l'objectif qu'il s'était fixé. Sur ce point, pas de problème. On devine l'organisation qu'il a fallu pour écrire ce roman, les schémas, les recherches etc etc. D'un point vue technique, c'est parfait et ça fait même froid dans le dos que de penser que tout est cohérent. Pour le reste, bon, je vais me  permettre d'apporter une petite note discordante dans les flot des éloges qui accompagnent toute critique de ce livre : je me suis globalement ennuyé, même si certaines histoires dans l'histoire sont amusantes ou dépaysantes. Et autant le dire franchement je n'ai rien compris au projet de Bartlebooth. Et puis, pas crédible : tous les habitants de l'immeuble ont des vie peu banales, sont chercheurs, voyageurs, artistes etc.
    Mais ce que je reproche le plus à ce livre est d'être trop parfait.

    lecture du 03.01.09 au 10.02.09
    note : 2.5/5

     

  • CR74 - un soupçon d'indigo - Michèle Gazier

    IMGP6119.JPGmot de l'éditeur : Que signifie disparaître ? Un homme, Maurice Gil, disparaît sur une île des Antilles. Qui était-il ? Pour Lucie, sa petite fille, qui ne connaît de lui que ce qu’on a bien voulu lui en dire, c’est tout à la fois un héros et un déserteur. Une icône floue et ambiguë. Quand, presque à son insu, elle en retrouve soudain la trace sur l’île de Marie-Galante, toute son existence en est rétrospectivement bouleversée. Pour Isabelle, la fille de Maurice, c’est une autre affaire. Elle l’a laissé s’enfuir dans son exil tropical, et a trop longtemps fermé ses beaux yeux indigo – de ce bleu si particulier que lui a donné son père et qu’elle a légué à Lucie. Elle n’a pas voulu voir l’immensité des sentiments de cet homme, de son amour, de son dépit, de sa colère. Pour elle, c’est l’histoire d’un deuil impossible. Quand au troisième narrateur de ce roman, ami du disparu, il raconte avec une rare émotion la fin flamboyante d’un homme révolté, déchu, et enfin libre.

    mon commentaire : Après quelques minutes de lecture, je me suis dit que je perdais mon temps avec un roman mineur, comme savent en pondre à la pelle les écrivains français d'aujourd'hui. Puis petit à petit, tranquillement mais sûrement j'ai été happé par cette histoire, un brin naïve certes, peu crédible (encore le récit d'un nanti qui quitte tout du jour au lendemain) et plein de bons sentiments, mais terriblement émouvante et incroyablement bien écrite. (récit à trois voix). Je vous avouerais même que sur la fin, je n'étais pas loin de pleurer. une réussite donc.

    Le Seuil, 272 pages, 02/2008
    Note : 4/5
    lecture du 10.02 au 13.02.09
    à venir : les accommodements raisonnables, Jean-Paul Dubois