 le mot de l'éditeur : "La Princesse de Clèves" montre l'effet ravageur de la passion dans une âme qui se veut maîtresse d'elle-même.
le mot de l'éditeur : "La Princesse de Clèves" montre l'effet ravageur de la passion dans une âme qui se veut maîtresse d'elle-même.
 De la première rencontre avec le duc de Nemours jusqu'à la fuite finale dans le " repos ", en passant par un aveu qui cause la mort de son mari, Mme de Clèves assiste lucidement à une déroute contre laquelle ses raisonnements restent impuissants.
 Mme de Lafayette combat ainsi une grande partie de la littérature amoureuse avec cette arme qui s'appelle l' " analyse ". Mme de Lafayette ne l'a pas inventée. Mais jusque-là, elle ne servait qu'à expliquer le comportement des personnages.
 Ici, pour la première fois, l'analyse devient un moyen de progression et la substance même du récit. Cette audace explique la fortune exceptionnelle du roman, et sa nombreuse postérité.
 
 mon avis : J'espère que mes sept fidèles lecteurs excuseront cette petite parenthèse. Le fait est qu'il ne coule pas de sang bleu dans mes veines et que je n'ai que faire des histoires de princesses.  Mais comme depuis trois ans, le livre dont il est question est LE live à la mode, j'avais pensé que ce n'était pas uniquement dû au fait que le Grand Méchant qui squatte l'Elysée avait plus ou moins fait savoir qu'il n'était pas très fan de cette oeuvre.
 J'ai donc voulu vérifier par moi-même  et zut, je suis obligé d'admettre que je me suis cruellement ennuyé. Le roman n'est pas mieux que l'idée que je m'en faisais, il est même pire, à savoir que la personne de la Princesse de Clèves m'a profondément déçu puisque non seulement elle ne trompe pas son mari (le Prince de Clèves) de son vivant mais même après son décès, elle trouve encore des raisons de ne pas se donner au duc de Nemours (puisque évidemment, ce n'est pas d'un paysan dont elle est amoureuse). Autant dire qu'il ne se passe rien sous ces pâles feux de l'amour versus XVIème siècle. Le lecteur doit donc se satisfaire de sempiternels états d'âme conjugués comme il se doit au subjonctif de l'imparfait...Le tout est d'une préciosité et d'une pédanterie ridicules. Ah, bien sûr, on peut toujours dire que oui, il faut se replacer dans le contexte de l'époque, que le roman a une valeur historique. Soit, mais quand même, qu'est ce que je me suis fait chier..parce qu'en plus de cette platonique histoire d'amour avortée, il faut aussi se farcir d'incompréhensibles intrigues de cours et des histoires d'alliances avec les couronnes d'Espagne ou de Navarre. Une vraie souffrance.
le livre de poche, 269 pages
 Ça y est, j'ai enfin lu un Balzac. Premier sentiment : ce n'est pas pire que l'idée que je m'en faisais mais ce n'est pas mieux non plus. C'est très d'époque et ça comprend son lot de vicomtes et de duchesses, de filles à marier avec les affaires de dot qui vont avec, des dames mariées chichement et qui trompent leurs maris officiellement (et vise versa).
Ça y est, j'ai enfin lu un Balzac. Premier sentiment : ce n'est pas pire que l'idée que je m'en faisais mais ce n'est pas mieux non plus. C'est très d'époque et ça comprend son lot de vicomtes et de duchesses, de filles à marier avec les affaires de dot qui vont avec, des dames mariées chichement et qui trompent leurs maris officiellement (et vise versa). présentation de l'éditeur : La visite du scénariste l’avait agacée. Elle avait perçu sa détermination comme un défi insolent, elle se sentait menacée. Sans y penser, elle prit un verre qu’elle remplit de vin blanc. Elle avait arrêté de travailler avec les chevaux, tout le monde le savait ! Pourquoi ce type était-il venu la relancer ? Pourquoi la voulait-il, elle, Enora ? Ce n’était même pas un réalisateur !Comment un scénariste avait-il pu obtenir le choix de la cascadeuse ? Il fallait qu’elle vérifie ça auprès de Charly. Au fait, pourquoi fallait-il qu’elle « vérifie ça » ?
présentation de l'éditeur : La visite du scénariste l’avait agacée. Elle avait perçu sa détermination comme un défi insolent, elle se sentait menacée. Sans y penser, elle prit un verre qu’elle remplit de vin blanc. Elle avait arrêté de travailler avec les chevaux, tout le monde le savait ! Pourquoi ce type était-il venu la relancer ? Pourquoi la voulait-il, elle, Enora ? Ce n’était même pas un réalisateur !Comment un scénariste avait-il pu obtenir le choix de la cascadeuse ? Il fallait qu’elle vérifie ça auprès de Charly. Au fait, pourquoi fallait-il qu’elle « vérifie ça » ? résumé : Ils prirent possession de la maison au milieu de la nuit. Une autre famille y aurait vu un commencement. Le premier matin de tous les autres. Une nouvelle vie dans une nouvelle ville. Un moment rare qu'on ne vit jamais dans le noir. Une famille d'Américains s'installe à Cholong-sur-Avre, en Normandie. Fred, le père, se prétend écrivain et prépare un livre sur le Débarquement. Maggie, la mère, est bénévole dans une association caritative et se surpasse dans la préparation des barbecues. Belle, la fille, fait honneur à son prénom. Warren enfin a su se rendre indispensable pour tout et auprès de tous. Une famille apparemment comme les autres en somme. Une chose est sûre, s'ils emménagent dans votre quartier, fuyez sans vous retourner...
résumé : Ils prirent possession de la maison au milieu de la nuit. Une autre famille y aurait vu un commencement. Le premier matin de tous les autres. Une nouvelle vie dans une nouvelle ville. Un moment rare qu'on ne vit jamais dans le noir. Une famille d'Américains s'installe à Cholong-sur-Avre, en Normandie. Fred, le père, se prétend écrivain et prépare un livre sur le Débarquement. Maggie, la mère, est bénévole dans une association caritative et se surpasse dans la préparation des barbecues. Belle, la fille, fait honneur à son prénom. Warren enfin a su se rendre indispensable pour tout et auprès de tous. Une famille apparemment comme les autres en somme. Une chose est sûre, s'ils emménagent dans votre quartier, fuyez sans vous retourner...
 présentation de l'éditeur : " Il y a dans lire une attente qui ne cherche pas à aboutir. Lire c'est errer. La lecture est l'errance. "
présentation de l'éditeur : " Il y a dans lire une attente qui ne cherche pas à aboutir. Lire c'est errer. La lecture est l'errance. " J'avais reperé ce roman dès sa sortie et quelques bonnes critiques m'ont conduit à me le procurer.  Ce petit ouvrage de 141 pages traite de la vie quotidienne d'un intérimaire dont la spécialité est d'effectuer des travaux de maintenance dans les centrales nucléaires. J'avais peur avant de commencer cette lecture qu'il s'agisse d'un roman à charge contre l'industrie nucléaire mais en fait, je tiens à rassurer de suite les écologistes (et donc pro-nucléaires) dont je suis, il n'en ait rien. Les risques liés au nucléaire sont évidemment évoqués et occupent même une grosse partie du roman mais s'il y a une critique dans ce roman, ce serait plus de la précarité dans laquelle vivent tous ces intérimaires intervenant de centrales en centrales au gré de ce qu'on appelle dans la milieu des  "arrêts de tranche". Comme les sites se situent souvent près de petits bourgs, ils n'ont d'autres solutions que de vivre dans des caravanes ou des mobile-homes.
J'avais reperé ce roman dès sa sortie et quelques bonnes critiques m'ont conduit à me le procurer.  Ce petit ouvrage de 141 pages traite de la vie quotidienne d'un intérimaire dont la spécialité est d'effectuer des travaux de maintenance dans les centrales nucléaires. J'avais peur avant de commencer cette lecture qu'il s'agisse d'un roman à charge contre l'industrie nucléaire mais en fait, je tiens à rassurer de suite les écologistes (et donc pro-nucléaires) dont je suis, il n'en ait rien. Les risques liés au nucléaire sont évidemment évoqués et occupent même une grosse partie du roman mais s'il y a une critique dans ce roman, ce serait plus de la précarité dans laquelle vivent tous ces intérimaires intervenant de centrales en centrales au gré de ce qu'on appelle dans la milieu des  "arrêts de tranche". Comme les sites se situent souvent près de petits bourgs, ils n'ont d'autres solutions que de vivre dans des caravanes ou des mobile-homes.
 mot de l'éditeur : En fréquentant les cinémas miteux de Los Angeles, Jonathan Gates découvre l'oeuvre fascinante de Max Castle. Jeune prodige, celui-ci a tourné quelques films avant de tomber dans l'oubli. L'élucidation des mystères qui entourent la vie et l'oeuvre de Castle va devenir une véritable obsession pour Gates. A l'issue de sa quête, qui va le mener des sommets de l'industrie cinématographique jusqu'au coeur des sociétés secrètes, où plane l'ombre des cathares, il apprendra l'incroyable vérité sur ce maître des illusions que fut Max Castle et mettra au jour un étonnant complot.
mot de l'éditeur : En fréquentant les cinémas miteux de Los Angeles, Jonathan Gates découvre l'oeuvre fascinante de Max Castle. Jeune prodige, celui-ci a tourné quelques films avant de tomber dans l'oubli. L'élucidation des mystères qui entourent la vie et l'oeuvre de Castle va devenir une véritable obsession pour Gates. A l'issue de sa quête, qui va le mener des sommets de l'industrie cinématographique jusqu'au coeur des sociétés secrètes, où plane l'ombre des cathares, il apprendra l'incroyable vérité sur ce maître des illusions que fut Max Castle et mettra au jour un étonnant complot. J'ai lu bella ciao courant décembre 2009 et dieu sait pourquoi je n'ai pas encore écrit le compte-rendu. Et voici que ce matin l'auteur m'envoie un mail "et quand l'espèce de blogger va-t-il donc faire le compte-rendu de mon roman ?". C'est un fait que dès que j'ai quelques jours de retard, hop, il faut que l'auteur du roman en question m'appelle. C'est quasiment systématique. Il est devenu impératif pour un écrivain d'être critiqué ici. Et cela fait des jaloux : l'autre jour, Marcel Proust en personne me contacte de l'au delà pour me  faire part de sa déception parce qu'ayant lu à la recherche du temps perdu bien avant l'ouverture du blog, son oeuvre ne fera donc jamais l'objet d'un compte-rendu en bonne et due forme.
J'ai lu bella ciao courant décembre 2009 et dieu sait pourquoi je n'ai pas encore écrit le compte-rendu. Et voici que ce matin l'auteur m'envoie un mail "et quand l'espèce de blogger va-t-il donc faire le compte-rendu de mon roman ?". C'est un fait que dès que j'ai quelques jours de retard, hop, il faut que l'auteur du roman en question m'appelle. C'est quasiment systématique. Il est devenu impératif pour un écrivain d'être critiqué ici. Et cela fait des jaloux : l'autre jour, Marcel Proust en personne me contacte de l'au delà pour me  faire part de sa déception parce qu'ayant lu à la recherche du temps perdu bien avant l'ouverture du blog, son oeuvre ne fera donc jamais l'objet d'un compte-rendu en bonne et due forme.