résumé : Ils prirent possession de la maison au milieu de la nuit. Une autre famille y aurait vu un commencement. Le premier matin de tous les autres. Une nouvelle vie dans une nouvelle ville. Un moment rare qu'on ne vit jamais dans le noir. Une famille d'Américains s'installe à Cholong-sur-Avre, en Normandie. Fred, le père, se prétend écrivain et prépare un livre sur le Débarquement. Maggie, la mère, est bénévole dans une association caritative et se surpasse dans la préparation des barbecues. Belle, la fille, fait honneur à son prénom. Warren enfin a su se rendre indispensable pour tout et auprès de tous. Une famille apparemment comme les autres en somme. Une chose est sûre, s'ils emménagent dans votre quartier, fuyez sans vous retourner...
mon avis : Que voici une lecture jubilatoire avec tous les ingrédients qu'il faut pour rester scotché à son bouquin : une bonne histoire, des personnages au caractère bien trempé, un style agréable et des rebondissements à la pelle. J'avais d'ailleurs presque l'impression de lire un livre de Djian. Ce roman contient également tous les ingrédients pour supporter une bonne adaptation cinématographique (bien que la cinéma a déjà beaucoup exploré le monde de la mafia et celui ses affranchis...mais peut-être pas sous un tel angle).
Je me suis beaucoup amusé à suivre le cheminement de la Gazette de Jules-Vallès (journal de l'école de Cholong-sur-Avre ) qui par plusieurs malheureux et incroyables hasards atterit dans le seul endroit au monde où il ne fallait pas : la cellule d'une prison logeant un caid de la mafia qui recherche dans quel endroit de la planète se terre l'enfoiré qui l'a dénoncé). La fin du roman n'est qu'une effroyable boucherie mais elle est racontée avec tant d'humour qu'on compte les morts le sourire aux lèvres.
On sent que l'auteur s'est éclaté en écrivant ce livre.
Ce n'est pas de la grande littérature certes mais c'est ingénieux et tout simplement divertissant.
roman, paru en 2005
folio, 374 pages
lecture du 18.02.2010 au 23.02.2010
note : 3.5/5
mon avis : Que voici une lecture jubilatoire avec tous les ingrédients qu'il faut pour rester scotché à son bouquin : une bonne histoire, des personnages au caractère bien trempé, un style agréable et des rebondissements à la pelle. J'avais d'ailleurs presque l'impression de lire un livre de Djian. Ce roman contient également tous les ingrédients pour supporter une bonne adaptation cinématographique (bien que la cinéma a déjà beaucoup exploré le monde de la mafia et celui ses affranchis...mais peut-être pas sous un tel angle).
Je me suis beaucoup amusé à suivre le cheminement de la Gazette de Jules-Vallès (journal de l'école de Cholong-sur-Avre ) qui par plusieurs malheureux et incroyables hasards atterit dans le seul endroit au monde où il ne fallait pas : la cellule d'une prison logeant un caid de la mafia qui recherche dans quel endroit de la planète se terre l'enfoiré qui l'a dénoncé). La fin du roman n'est qu'une effroyable boucherie mais elle est racontée avec tant d'humour qu'on compte les morts le sourire aux lèvres.
On sent que l'auteur s'est éclaté en écrivant ce livre.
Ce n'est pas de la grande littérature certes mais c'est ingénieux et tout simplement divertissant.
roman, paru en 2005
folio, 374 pages
lecture du 18.02.2010 au 23.02.2010
note : 3.5/5
Commentaires
très divertissant
et il te reste à lire "malavita encore" (?) encore plus réussi que le premier!
J'ai découvert Benaquista en tant que scénariste de Sur mes lèvres de Jacques Audiard (2001). Le premier roman que j'ai de lui est Saga: très bien et assez jubilatoire. Malavita m'a un peu moins emballée mais sa lecture reste plaisante. Il faut que j'en lise d'autres. Bonne après-midi.