Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • CR48 : zone mortuaire - Kelt et Ricardo Montserrat

    253334057b75d5ed5ea01a4df5a157a0.jpgComment peut-on écrire un roman cohérent, un roman qui se tient,  lorsqu'on est plusieurs amateurs à le faire, fussent-ils assistés par un écrivain professionnel ? C'est la question que je me posais avant de lire ce polar et que quelque part je pose encore après. Sous l'égide de Ricardo Montserrat, l'idée fut de réunir quelques habitants d'un quartier populaire  de Lorient (Kervénanec) afin que chacun apporte à son rythme et sa manière un peu d'eau au moulin. L'initiative est intéressante d'un point de vue social.
    Mais le seul intérêt de cette histoire pour moi est qu'elle se passe dans l'agglomération lorientaise. Sinon, ce n'est in plus ni moins que le récit d'un drame familial dans un environnement social dégradé où l'alcool et la drogue sont les seules planches de salut.
    terriblement glauque et même pas atmosphérique.
    note : 2/5
    lecture du 6 au 8 juillet.
    encore une note qui casse dur. Ce fut la dernière de la série 'lecture au camping'.
    Loïc


  • journal du jogger sympa (2) : les 14KMH, ça y est !

    96c73f2e020f42ca272c93394a57525a.jpgJolie performance hier soir : je réalise 42.26MNS sur 10KMS soit 31SECS de mieux que mon précédent meilleur chrono le 08.05. Je suis vraiment content car il me tardait d'être récompensé de tous mes efforts de ces derniers mois (séances fractionné et globalement entrainement plus sérieux..donc plus chiant aussi. Faut savoir ce qu'on veut). J'ai super bien géré la course et ne suis jamais descendu sous les 14KMH. J'ai même réussi par moment à placer de petites accélérations sans affoler le cardio. Je fais une séance à 93.5% de ma FCM, ce qui me  laisse une petite marge de manœuvre pour de futurs chronos.
    . un bémol : je me suis enfilé une red bull (à base de taurine) à un quart d'heure du départ mais il m'est difficile de savoir le lien de cause à effet. Peut-être un petit effet psychologique..encore que.
    . une constatation : en été, les chronos se font soit tôt le matin soit le soir après 21h.
    Voilà qui me met en confiance pour les foulées Langoustine à Locmiquélic (13.5kms) le 10 août, course qui me servira de base dans l'optique de la préparation des foulées du Golfe le 19.10 (où je compte casser la baraque...obama). Pour les foulées Langoustine, je me contenterai de faire moins d'une heure.
    Je tiens au courant les cinq ou six internautes qui viennent encore me lire de temps en temps. Et ça me servira de carnet de bord aussi.
     
    Loïc

  • CR - Jean-Lou et Sophie - Marcel Marlier

    239b8b59b3460816a0880c2ce03152f9.jpgC'est en flânant au marché d'Hennebont que je suis tombé sur ce Jean-Lou et Sophie. C'est un petit livre pour enfants racontant les pérégrinations de deux gosses en Bretagne. Ils errent de villes en villes, de Fougères à Dinan en passant par Quimper et par les campagnes environnantes (Mont d'Arrée...). Plus que le texte (complètement incohérent et peu crédible), ce sont les dessins qui font rêver. Car le livre est de Marcel Marlier, celui-là même qui fait les aquarelles des Martine (mais il ne faut plus parler de Martine car le buzz en passé, n'est-ce pas). Les dessins donc, sont de toute beauté et très réalistes et donnent plus envie de visiter la Bretagne que n'importe quel guide touristique.
    Il y a tant de choses à visiter en Armorique (et tant de choses qu'il vaut mieux éviter aussi) qu'une vie ne peut suffire. Dommage que le texte fasse dans la caricature primaire. En effet, les enfants trouvent par hasard un fou de Bassan mazouté, qu'ils nettoient et qu'ils rendent à la nature. Mais n'oublions pas qu'il s'agit avant tout d'un livre pour enfants. Mais c'est vraiment chercher la petite bête car cet album est un enchantement de tous les instants.
    Ah, une autre chose aussi. Le Mont-Saint-Michel n'est pas breton..mais normand..car
    Le Couesnon  en sa folie
    A mis le Mont en Normandie.

    (Ceci dit, reconnaissons à l'auteur de ne pas avoir parler de Nantes... qui, comme chacun sait, n'est pas bretonne...)
     
                                                   

    d5055d69a7d16f14b065bba7fe9b15f7.jpg
    7b26fd4bacaa26822f1b9fd859c1be15.jpg
    89ad823a13eb4952e90b2a4b3f43001f.jpg
    bc3447cf42eb6b255fdf5daa93ebf77b.jpg

  • CR47 : les noces barbares - Yann Queffélec

    33db147ec299029f64578e231dbe8e80.jpgQue me reste-t-il de ce roman trois semaines après sa lecture ?...quelques images : un viol dans une tente militaire sur des dunes quelque part dans les Landes, un enfant caché dans un grenier, un asile psychiatrique quelque part dans une forêt, l'enfant qui fait une fugue et qui se cache des mois durant dans une épave échouée sur une plage désertée.
    ça ressemble à un roman de débutant, un roman où l'on veut en faire voir de toutes les couleurs au lecteur, un roman où les sentiments sont très crus mais trop caricaturaux. J'ai trouvé peu crédible ce récit qui se présente comme étant somme toute assez banal. Mais Yann Quéffelec étant un compatriote breton, j'ai envie de lui donner une seconde chance. A suivre donc.

    note : 2.5/5
    lecture les 9 et 10 juillet.

    En ce merveilleux été, les comptes-rendus ne casseront pas des briques et seront plutôt méchants. pas de chances pour les livres et auteurs concernés.
    Loïc, 17h30

  • au 'restaurant sympa'

    ae16f825d2c0fda6bf0bc9de543e4312.jpgPendant nos vacances en Vendée, alors que nous flânons un soir dans les rues de La Faute-Sur-Mer, nous passons devant un restaurant qui a l'air sympa. Comme de fait, le restaurant s'appelle le restaurant sympa. (ça ne s'invente pas). Nous décidons d'y entrer pour dîner. Comme le temps est incertain, nous décidons de manger à l'intérieur. On s'installe, on commande un apéro ainsi que des moules-frites. Il s'avère que ce soir-là, un petit concert est organisé. Le chanteur s'appelle Ivan Maldoror et on le voit qui prépare son matos tout souriant. On se dit qu'on va passer une bonne soirée. Le mec commence à chanter et dans la salle, seules trois tables son occupées. Le Muscadet me monte à la tête, Chloé et Lola, bons publics dansent et IvanMaldoror leur sourit tout content qu'il est de rendre des enfants heureux. Ses chansons sont des reprises de trucs d'OtisRedding, de Bob Marley et d'autres choses dans le genre qui se laissent écouter tout en mangeant. Le chanteur fait participer son petit auditoire en posant des questions ou en disant des conneries du genre 'voilà, ça c'était de Gérard Souchon', espérant bien sûr qu'on le reprenne. Ce que je fais. On passe une bonne soirée. Mais les clients d'une table s'en vont. On n'est plus que deux tables. Parallèlement cinq serveurs s'affairent. Quasiment un serveur pour deux clients. Dehors, sur la terrasse, il y a un peu de monde mais ils ne peuvent pas voir le concert.
    Je me sens bien jusqu'à ce moment où Ivan Maldoror qui vient de chanter Don't worry be happy nous dit que le morceau est de Bobby McFerrin (si ma mémoire est bonne). Et je me dis à ce moment-là que le point commun entre tous les titres qu'il nous chante est que ce sont tous des morceaux qui ont été repris pas les publicitaires. Et là, je ne sais pas pourquoi, emporté par mon enthousiasme et par le muscadet, je lui dis ouvertement alors que le silence complet s'est fait dans la salle 'mais toutes ces chansons, ce sont avant tout des chansons de pub, à la base'. Texto. Ivan Maldoror me regarde et se met gentiment à rire, une sorte de rire moqueur en même temps que poli (un peu comme l'on rit lorsqu'un enfant vient de sortir avec beaucoup d'assurance une grosse stupidité) et il m'explique devant tout le monde qu'avant d'être des musiques de pub, ces chansons furent avant tout écrites et interprétées par des artistes. Disant cela, il croit m'apprendre quelque chose. A ce moment-là, je suis tout rouge et je me sens terriblement seul. Prisca rit elle aussi et j'ai cru entendre un des serveurs et la tablée d'à côté se moquer. Je me dis qu'Ivan Maldoror doit me prendre pour un imbécile heureux, un consommateur influencé par la publicité, un fidèle de tf1.
    Quelques minutes après, le chanteur fait une pause et vient à notre table pour signer des autographes à mes filles. L'occasion est trop belle. Il est impératif que je rattrape le coup et là je lui sors un 'Maldoror, c'est par rapport aux chants de Maldoror de Lautréamont ?', espérant montrer ainsi ma culture. Il confirme évidemment. (de tout façon, c'était évident). Et ensuite, je prends mon courage à deux mains et lui explique que par ce que j'avais dit tout à l'heure je voulais dire que pour le français moyen, qui n'a pas, comme chacun sait, beaucoup de culture musicale, ces titres sont avant tout, "à la base", des musiques de pub. 

    Je sais pas si j'ai sauvé le coup mais en tout cas j'ai essayé.Mais globalement quand même, c'est la honte. 

    Loïc

     

  • un merveilleux été...

    Il y a quelques mois, j'ai acheté un cd !! Comme dans l'ancien temps, à savoir que je me suis rendu dans un magasin où il y a plein de choses en vrai et notamment des cd. On choisit ce qu'on veut, suite à quoi, on passe à ce qu'on appelle une 'caisse' et on il faut payer. C'est à dire qu'on ne peut pas sortir du magasin sans donner de l'argent au vendeur. Il y a plusieurs façon de la faire, soit par carte bancaire (méthode la plus courante), soit par chèque ou alors en espèce. J'explique tout ça aux jeunes et à tous les gens qui auraient oublié que la musique a un prix. Comme toute oeuvre d'art. Le cd en question était "l'invitation"...et en ce merveilleux été, j'ai envie de vous faire partager celui de Daho. Très jolie chanson qui fleure bon les petites maisons perdues dans quelque pays ensoleillé.

    089916f8e6cabd7f85f0b85587d7b938.jpgRien ne semble pouvoir venir troubler
    Ce merveilleux été
    La maison est grande ouverte et aérée
    J’ai réparé
    La toiture et repeint les murs
    J’ai pansé mes blessures
    Et refait ma vie
    Ici

    Il flotte un si merveilleux parfum sucré
    De fleurs éclatées
    Comme un je ne sais quoi de sacré
    Dans le ciel, l’été
    L’azur est aveuglant
    Et pur
    Comme une éclaboussure
    Dans ce cadre idéal

    Et toi
    Toi
    Tu veux savoir pourquoi aujourd’hui je ne t’aime plus
    Pourquoi depuis un moment on ne se capte plus
    Et tu pleures en secret
    Toutes les larmes de ton corps
    Comme si j’étais mort

    Il règne une si oppressante chaleur
    Comme une torpeur
    Alors que montent les larmes de ton corps
    Fais comme si j’étais mort


  • CR46 - les passagers du Roissy-Express - François Maspéro

    Il existe comme cela aux confins du monde des contrées apparemment inhabitées où l'on voit parfois surgir sur les routes des gens qui cheminent vers d'improbables destinations.

    Anaïk et François décident de faire un voyage de quelques semaines en banlieue parisienne. Elle, aura l'appareil photo, lui tiendra le carnet de route.

    Donc ils partiraient pour un mois loin de chez eux, disant adieu aux leurs, comme on part pour n'importe quel pays que l'on veut visiter. Il noterait, elle photographierait. Ce serait une balade le nez en l'air, pas une enquête : ils n'avaient nullement l'intention de tout voir, de tout comprendre et de tout expliquer. La règle de base, celle qui conditionnait toutes les autres, c'était de prendre le RER de station à station et, à chaque fois, de s'arrêter, de trouver à se loger et de se promener. Ils regarderaient les paysages, les admireraient ou les détesteraient suivant les cas, chercheraient les traces du passé, visiteraient les musées et iraient au spectacle si l'occasion s'en présentait, ils essaieraient de saisir la géographie des lieux et des gens : de voir leurs visages. Qui étaient ceux qui avaient habité là ? Comment y avaient-ils vécu, aimé travaillé, souffert ? Qui y vivait aujourd'hui ?

    f33fa13a57d393fd7e74e0860639595b.jpgVoilà donc l'idée. La règle de base ne sera finalement pas vraiment appliquée, les circonstances et les déssertes ne s'y prêtant pas tout le temps mais l'esprit reste. Aller et venir, aller à la rencontre des gens, discuter...Bien que la lecture fut longue, je me suis régalé de ce livre qui n'est ni plus ni moins qu'un compte-rendu sans prise de tête du road-movie de deux passionnés dans toutes les villes ou presque ceinturant Paris. Alors ce ne sont que bretelles d'accès, hlm immondes, rues sans âmes, cités pavillonaires et zones diverses et désolées..et quelque part, cachés dans cet enchevêtrement d'endroits désertés, des petits paradis, des restaurants sympas ou même quelques vallées verdoyantes et riantes.
    Il y a pas exemple l'hôtel de l'Imprévu à Aubervilliers :
    Ce qu'il y a de mieux, à l'hôtel de l'Imprévu, c'est encore le panonceau officiel "hôtel de tourisme", avec une étoile. "Ah, dit la patronne, je ne savais pas qu'il y aurait une dame. Franchement, je vous conseille de prendre des chambres avec wc, à 140 francs, c'est pas pour dire mais c'est plus propre." L'hôtel donne sur l'avenue Jean Jaurès  c'est à dire sur l'inévitable nationale 2 et son cortège motorisé, à peu de distance du carrefour où elle devient l'avenue Paul Vaillant Couturier de La Courneuve. Les chambres sont au premier, on y accède par un escalier moisi qui débouche sur un palier aux dénivellations incertaines et, bien entendu, c'est l'instant que choisit la minuterie pour faire le noir absolu. Enfin, voici leurs portes. La moquette est tellement pourrie qu'on a peur de s'y enfoncer comme dans un marécage. Taches et brûlures de cigarettes ; une traînée récente, particulièrement, qui va du lit au lavabo, frappe l'oeil par la prodigalité et la vigueur de ses éclaboussures : cela tient de la queue de comète et de l'éjaculation d'un mammouth. La cuvette est grise de crasse et l'on imagine mal de s'y laver les mains ou quoi que ce soit d'autre.La chambre d'Anaïk, elle, fut bleue : elle sent le fromage de pieds, vieille expression virile du service militaire. Lugubre. Sur la pointe de ses pieds à lui, François regagne son lit, s'y recroqueville et reste sans bouger, comme sur une île qu'assiégiraient les méduses, les crapauds-buffles, la marée noire et la peste bubonique, attendant que vienne l'assomer un sommeil clément peuplé du barrissement des camions en rut et de calmars géants.
    note : 4.5/5

  • kosmas epsilon

    Le titre Innocent Thoughts de Kosmas Epsilon est une tuerie, un morceau de trance véritablement divin qui nous raconte quelque chose comme l'histoire des hommes. Idéal au casque pour un footing en forêt. Sinon, les types ont un myspace, comme de bien entendu.

  • crise dans les médias. (2)

    Mais plus que dans la presse, les sites d'information d'internet regorgent un nombre incalculables d'informations approximatives, racoleuses, voire totalement érronées. Exemple sur la page d'accueil de yahoo de ce matin:

    La crise financière, une bonne nouvelle pour le climat ?

    Reuters - il y a 28 minutes

    LONDRES (Reuters) - Conséquence inattendue de la crise du crédit, le recul des opérations de fusion et acquisition en Europe provoque une baisse des rejets de CO2 dans l'atmosphère.

    Selon une étude de la firme Merrill DataSite, les déplacements en avion d'avocats d'affaires et conseillers occasionnés par des opérations de ce type ont représenté l'année dernière l'émission de 98.000 tonnes de dioxyde de carbone dans l'atmosphère, soit l'équivalent des rejets annuels de 8.000 Britanniques.

    De même, plus de 112 millions de pages de papier format A4 ont été utilisées dans la préparation des fusions entre entreprises européennes, soit l'équivalent de 10.000 arbres.

    Or la crise du crédit a drastiquement réduit le nombre d'opérations de ce type. Dans le cadre de plans d'économie, les banques ont en outre limité les déplacements professionnels. Autant de rejets en moins.

    La firme à l'origine de cette étude, qui propose sur internet des sites sécurisées permettant échanges de documentation et réunions virtuelles à distance, fait état pour sa part d'une très nette augmentation de ses activités.

    Olesya Dmitracova, version française Henri-Pierre André

     

    C'est tellement n'importe quoi que ça devrait se passer de commentaire... Mais quand même, déjà que les climatologues (les vrais, pas ceux à la solde des médias), ne sont vraiment pas sûrs que le réchauffement climatique ait pour cause les émissions de CO2, voilà que certains pensent qu'une misérable crise financière peut avoir une incidence sur le climat, comme si le climat réagissait coup pour coup aux intermitences de l'activité humaine. Tiens, et si on annulait les Jeux Olympiques de Pékin, peut-être que ça aiderait à ce que les glaciers des pôles reprennent de la vigueur ?

    Par ailleurs, il ne serait pas étonnant qu'au contraire cette crise financière provoque plus de déplacements des responsables et des financiers en général. Les pompiers ne se déplacent que lorsqu'il y a le feu.  

    Mais à la limite on s'en fout. Tout ça est tellement nul qu'on ne trouve pas les mots. 

  • crise dans les médias.

    017a0f3c7edafdf6af349f7d5d508e20.jpgRégulièrement, je vous donnerai des exemples concrets de la désinformation dont est victime la population française, à qui les médias veulent faire croire que tout va de plus en plus mal, dans tous les domaines (l'idée du déclinisme est vendeuse). Exemple dans le Ouest-France (quotidien à priori sérieux s'il en est) du 01.07.08 :
    Les ventes de voitures neuves ralentissent en juin

    En juin, la progression des ventes de voitures neuves en France ralentît pour de bon : sa hausse n'est que de 1.6% par rapport à juin 2007. En mai, la hausse avait été de 7.1%, moins bien qu'en avril (15.5%). C'est ce qu'a mesuré le Comité des constructeurs français d'automobiles (CCFA). Sur l'ensemble du premier semestre 2008, cela fait tout de même une progression de 4.5%, portée par le bonus écologique et de nouveaux modèles. "Une bonne surprise dans un contexte desinistrose des ménages français", juge un analyste de l'institut d'études économiques Xerfi.


    Mon commentaire : On est là en présence d'un exemple pur de désinformation. Le journaliste arrive à nous faire croire que les ventes de voitures neuves baissent..alors que les chiffres montrent le contraire. Non seulement, ils montrent le contraire mais en plus au regard des trois derniers mois, on peut dire que c'est quasiment l'euphorie. Les journalistes (de tous bords) considèrent le ralentissement d'une progression comme une baisse et ceci est valable lorsqu'ils parlent de l'immobilier ou du pouvoir d'achat.
    Il est donc fortement recommandé de prendre avec des pincettes les articles de presse, et surtout, et surtout, de ne pas s'arrêter aux titres, qui disent souvent le contraire du contenu de l'article (où les journalistes sont quand même obligés, bien malgré eux de faire part de la réalité des chiffres).
    Personnellement je ne lis plus la presse ni ni regarde les infos télé, sauf comme ça pour m'amuser ou me désespérer de constater à quel point on est manipulé (pour des raisons diverses et variées sur lesquelles il faudrait revenir).