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  • [jardin] l'hibiscus qui revenait de loin

    Il faisait partie de trois hibiscus plantés en ligne côté sud par l'ancienne propriétaire. Tout de suite, ces trois arbustes me sont sortis par les trous de nez. Mal situés, banals, on a décidé de les déplanter pour les replanter ailleurs. Mais dans l'affaire, un seul a survécu. En ce mois de septembre 2010, il fleurit pour la première fois. Prisca est contente, elle l'adore ! Moi ça va, mes bambous ne me font pas d'aussi belles fleurs -))

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  • [jardin] les feuilles du pleioblastus tsuboi

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    Il a fleuri au printemps (ce qui n'est jamais bon signe pour un bambou) mais il s'en est bien sorti.
    Nous allons aux botaniques de Ploemeur ce weekend. Plein de bonnes choses en pespective...

  • l'emploi du temps

    lundi 13 septembre. Beau temps en Bretagne Sud.
    température maximale : 21°
    température minimale : 10°
    précipitations : 0 mm.

    lever de mon corps : 7:06
    humeur : normale
    forme : normale
    douche : non
    petit dej : café, une madeleine, 2 krisprolls
    radio écoutée sur le chemin du taf : le début d’un podcast (Houellebecq à Répliques) et matinale france culture (avec Laurent Fabius)

    midi, dej : salade armor (salade, oeufs, saumon, tomate)
    sieste : non
    lecture : à peine
    quoi alors : rêvasseries

    ce soir : bricolage (quelques trous à faire avec une perceuse d’emprunt - une très bonne SKYL)
    dîner : melon et crêpes fourrées avec pâtes +salade, fromage + crême vanille DANETTE)
    ensuite : en cours.

    Loïc, 21:18*

    * c’est que bon, la lecture d’extinction prenant beaucoup de temps, il faut trouver des trucs pour faire patienter l’espèce de lecteur.

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  • la poésie rentre dans la maison

    Je ne parle pas assez de poésie sur l’espèce de blog. C’est un fait que j’en lis très peu en ce moment. Mais je ne pars jamais en voyage ou en weekend sans un recueil dans mes bagages. J’ai besoin de savoir que j’ai de la poésie à portée de main.
    Mais depuis que Chloé sait lire et écrire, c’est grâce à elle que la poésie est présente dans la maison. Tous les parents connaissent ça. J’aime l’idée que l’on donne encore des poèmes à apprendre à nos chères têtes blondes (je déteste cette expression mais concernant Chloé, c'est vrai..elle m'est chère et elle est blonde -). J’aime entendre Chloé réciter sa poésie car, et pour ça je suis fière d’elle, elle ne récite pas bêtement sans comprendre, elle vit le texte. Elle pose des questions sur le sens. Ça me plait beaucoup..et maman lui fait réciter n’importe où, n’importe quand, dans le bain, en voiture, en cuisine ou avant le dernier bisou du soir.
    Pour demain, Chloé (qui est en CE2 à l’école publique des lutins) doit savoir ce poème de Pierre Gamarra intitulé mon cartable.


    Mon cartable a mille odeurs,
    Mon cartable sent la pomme,
    Le livre, l'encre et la gomme
    Et les crayons de couleurs.

    Mon cartable sent l'orange,
    Le bison et le nougat,
    Il sent tout ce que l'on mange
    Et ce qu'on ne mange pas.

    La figue, la mandarine,
    Le papier d'argent ou d'or,
    Et la coquille marine,
    Les bateaux sortant du port

    Les cow-boys et les noisettes,
    La craie et le caramel,
    Les confettis de la fête,
    Les billes remplies de ciel.

    Les longs cheveux de ma mère
    Et les joues de mon papa,
    Les matins dans la lumière,
    La rose et le chocolat.

  • CR180 : les arpenteurs du monde - Daniel Kehlmann

    9782742780617.jpgprésentation de l’éditeur : L'un est le grand explorateur Alexander von Humboldt (1769-1859). Il quitte la vie bourgeoise, se fraye un chemin à travers la forêt vierge, rencontre des monstres marins et des cannibales, navigue sur l'Orénoque, goûte des poisons, compte les poux sur la tête des indigènes, rampe dans des cavités souterraines, gravit des volcans, et il n'aime pas les femmes. L'autre est Carl Friedrich Gauss (1777-1855), "Prince des Mathématiques" et astronome. Il saute de son lit de noces pour noter une formule, étudie la probabilité, découvre la fameuse courbe de répartition en cloche qui porte son nom, calcule l'orbite de la planète Cérès avec une exactitude effrayante, et il déteste voyager. Un jour, cependant, Humboldt réussit à faire venir Gauss à Berlin. Que se passe-t-il lorsque les orbites de deux grands esprits se rejoignent ? Deux fous de science - leur vie et leurs délires, leur génie et leurs faiblesses, leur exercice d'équilibre entre solitude et amour, ridicule et grandeur, échec et réussite - rendus tangibles grâce à l'humour et l'intelligence d'un jeune prodige de la littérature allemande.

     

    mon avis : Comme je ne suis pas du tout inspiré, hop, je balance une présentation de l’éditeur, ça permet de noircir du blog à peu de frais.

    Je n’ai pas aimé ce roman. Mal boutiqué, bancal, je me suis ennuyé du début à la fin. L’idée était pourtant originale mais il semble que l’auteur ait eu les yeux plus gros que le ventre. Le roman a connu un succès mondial à sa sortie..mais ça ne veut rien dire évidemment..nombreux de fans de mathématiques ont dû se précipiter dessus.

     

     

    roman , paru en 2005

    traduit de l’allemand par Juliette Aubert (en 2007)

    babel (n°940), 299 pages

    lecture du 24 au 31  août 2010

    note : 1/5