L'ami des jardins est l'un des rares mensuels que j'achète (je suis par ailleurs abonné à Télérama, réflexion est en cours pour un désabonnement pour des raisons de sécurité). Comme son nom l'indique, il s'agit d'un magazine qui parle de jardin qu'il soit d'ornement ou potager. Il contient plein de conseils, des idées, il relate des visites dans des jardins somptueux etc. Rien de transcendant mais il fait son travail.
Il contient aussi une boutique, sorte de quincaillerie sur papier vendant des objets modernes. Ainsi dans le numéro 1052 de mars 2015, on peut acquérir un lecteur cd...mais qui fait aussi lecteur cassettes...et attendez, summum de la modernité, on peut même faire des enregistrements sur les cassettes. Je trouve ce concept fort original. L'appareil faisant également transistor (grandes ondes et même modulation de fréquence !), on peut enregistrer en direct les émissions que l'on souhaite( que ce soit sur Europe n°1, Radio Monte Carlo, Radio Luxembourg etc...) L'objet est plutôt joli, et les ingénieurs ont réussi la prouesse d'associer lecteur cd et lecteur cassette sur un même appareil en plaçant le lecteur cd dessus et les cassettes devant. En plus, il dispose d'une poignée. C'est un Thomson, marque réputée pour la qualité de ses produits. Pour l'anecdote, il ne pèse que 2 kilos (soit 4.4 livres anglaises)
Concernant ce concept de cassettes (les geeks écrivent déjà K7), je me suis renseigné au Carrefour où j'ai mes habitudes. Nous n'en vendons plus m'a-t-on répondu, ce à quoi j'ai retorqué pas encore vous voulez dire. La dame a semblé me prendre pour un fou. Les dirigeants des grandes surfaces feraient bien de former leur personnel aux nouvelles technologies, sinon comment voulez-vous qu'on s'en sorte ?
Cette merveille coûte seulement 54€90 stipule l'annonce (soit à peu près 360 francs). On peut donc imaginer qu'ailleurs il vaut bien bien plus mais je ne peux rien garantir, cet appareil (qui est appelé à remplacer nos bonnes vieilles clés usb ou carte sd) n'étant pas encore en vente chez Amazon, Fnac et cie.
Loïc LT
Après la mise en place d'une pinède vendredi dernier (aujourd'hui, trois jours après, je considère l'opération comme étant un succès), la deuxième étape de ces travaux de printemps consistait en la réalisation d'une rocaille, sur la droite de l'allée quand on entre dans la propriété. La première tâche fut d'arracher l'herbe, ce qui a nécessité plusieurs bérouettes. Ensuite, j'ai préparé le terrain en enlevant les vieilles racines, toutes les saloperies et en démotant la terre. Suite à quoi, j'ai eu l'ingénieuse idée d'agrémenter ce parterre d'une espèce d'amphore dont je ne savais que faire (et que le précédent propriétaire des lieux nous avait laissé) ainsi que d'un gros caillou, qui jusque là se situait dans un endroit où il
n'avait pas sa place.
la propriété de leurs parents. Plus que dans le texte, ce sont les images qui m'inspirent (depuis que j'ai lu le roman d'Ovaldé , je ressens ce besoin de revenir à des livres simples..). Par exemple, dans ce livre, j'ai appris comment on pouvait débourber une bérouette avec une simple planche en bois. Et puis surtout, il y a cet escalier en pierre qui me fait rêver. J'ai essayé dans ma rocaille de faire quelque chose d'approchant mais j'en suis loin. Je n'ai pas de si beaux cailloux.
du magasin). On en a eu pour 50 euros : correct. Le lendemain, j'ai poursuivi les frais en achetant des bordures en bois (pas visibles sur les photos). Au final, on en a en tout et pour tout pour environ 100 euros.



J'avais débuté les opérations en septembre 07 avec la plantation d'un pin sylvestre. On l'a appelé Kafka. L'arbre a très bien passé l'hiver et il a déjà pris 2 ou 3 centimètres. J'avais acheté ce pin chez un pépiniériste. Vu le prix et sur le conseil d'amis trotskistes, j'ai décidé pour la suite de procéder autrement en allant me servir directement dans la forêt toute proche. C'est ce que j'ai fait ce matin. Muni d'une cagoule pour ne pas me faire remarquer et de ma fourche pour déplanter comme il faut les arbres, je suis parti en vadrouille..et suis revenu deux heures plus tard avec 3 pins dans le coffre. Je les ai planté et baptisé dans la foulée (Kafka grandira donc désormais en compagnie de Kundera, Pessoa et Zola -l'idée étant que le nom d'un pin doit se terminer par la lettre a).