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  • les loups, jour après jour, page 207 à 351

    Alors que Marie-Jeanne Jobourg  ignore toujours tout ce qui se trame autour d’elle, la famille Jobourg fait l’objet de tensions de plus en plus fortes. Suite à une dispute avec son père, Genevieve quite la maison une nuit pour aller dormir chez son amant Gilbet  Saint-Rémon...quant à Benoit, l’un des trois fils Jobourg, il se tire en Angleterre avec une danseuse de cabaret. Pendant ce temps, Maximilien continue de cacher et de voir sa fille, Valérie au nez et à la barbe de Marie-Jeanne, qui, comme les cocus sera la dernière à ne pas savoir ce qui se passe dans son dos. Georges Peige, le gendre,  banquier de son état, qui a fini par connaître le fin mot de l’histoire exerce une sorte de chantage sur son beau-père et l’oblige à tout remettre à plat son portefeuille d’actions, ce qui provoque le courroux du notaire des Jobourg qui pense que c’est du grand n’importe quoi. Didier, l’ainé des trois frères reste stoïque devant tous ces événements...et en attendant de réaliser son rêve, c’est à dire de prendre la mer, il se promène dans la ville et parfois en compagnie d’Elisabeth, la fille ainée des Durban, dont il n’est pas amoureux..ce dont doute Marie-Jeanne qui, en rentrant de ses courses, rencontre par hasard le couple marchant bras dessus bras dessous. MJ, qui est contre cette union se dépêche d’aller averti Jenny Durban, qui, elle, est plus cool et ne semble pas se formaliser..

    mon avis : j’ai atteint un rythme de croisière qui me permet d’envisager une fin de lecture plus tôt que prévu..comme je l’écrivais précédemment, et je le confirme ici, le roman se laisse lire gentiment et le style un peu précieux de Guy Mazeline n’est pas déplaisant..ce n'est pas barbant et je ne connais pas d'auteurs français contemporains qui seraient capables d'en faire autant...

     

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  • les loups, jour après jour, page 108 à 206

    Maximilien Jobourg  est finalement rentré chez lui à 2 heures du matin après avoir relogé Valérie chez l’une de ses anciennes domestiques...Marie-Jeanne essaie de savoir ce qu’il foutu de sa journée mais Maximilien ne dit mot. C’est le mot pour l’auteur de nous envoyer dans le passé. On apprend comment Maximilien s’est entiché de Marie-Jeanne, une brocantière pas fière et comment il s’est rapidement rendu compte qu’il s’ennuyait avec elle. Peu après son mariage, Maximilien fait la connaissance de Pauline d’Oenedry, une fille cultivée, fréquentant Virginie Jobourg, la mère Jobourg..ils se plaisent et font un enfant..mais Pauline doit partir en Nouvelle-Calédonie où son fiancé, un benêt,  a l’intention de s’affairer.
    Retour dans le présent. Les Durban organisent une soirée à l’occasion des 20ans d’Elisabeth, l’une de leurs filles. Les Jobourg sont de la partie et les commérages vont bon train. Maximilien n’est pas dans son assiette...les fils Jobourg festoient...le calme (relatif) avant la tempête ?

    mon avis : j’ai lu ces cent pages en ce dimanche après-midi...et surprise, je commence à me laisser charmer par l’histoire...et le style aussi, qui me fait de plus en plus penser à celui d’Emile Zola...en un peu plus maniéré....surtout dans les pages consacrées à la réception chez les Durban..cette façon de narrer la soirée en nous faisant passer de petits en petits groupes, et cette manière de dévoiler les impressions des convives...un moment  je me suis cru dans Pot-Bouille ou La Curée...
    Je n’irais pas jusque dire que j’adore ce roman .mais j’admets que je ne le déteste plus...et que je commence à comprendre pourquoi il a plu au Jury du Goncourt en cette fameuse année de 1932 où il coiffa sur le fil voyage au bout de la nuit de Céline (Céline, l’un des plus grands..et qu’on ne célèbrera donc jamais...dommage mais en fait qu’importe...)

  • les loups, jour après jour, page 61 à 107

    Je me suis trompé avant-hier : les Jobourg ont eu 5 enfants, Didier, Vincent, Benoit, Genevieve et..Blanche...Lors de ces deux atroces journées de lecture, le lecteur courageux que je suis a fait connaissance avec les deux soeurs Jobourg. Genevieve a 23 ans, vit chez ses parents et elle voit en secret un certain Gilbert Saint-Rémon, banquier de son état...Lors de leur premier rendez-vous nocturne, le long de la digue, le couple se fait surprendre par une commère qui se dépêche de faire envoyer une lettre anonyme à ses parents. C’est la mère Jobourg qui prend connaissance de la chose puisque son mari, Maximilien n’est toujours pas rentré de son étrange rendez-vous.
    Quant à Blanche, elle  est mariée avec Georges Peige, un type qui bosse dans l’entreprise des Jobourg (à ce que j’ai pu comprendre) . Le couple vit dans la maison Jobourg, même si Gilbert n’est pas trop bien vu des parents ni des trois frères. On le trouve un peu trop envahissant, il veut se mêler de tout.
    En dehors de Maximilien qui n’est pas encore rentré, tout le monde est au courant de la liaison de Genevieve et celle-ci fait savoir qu’elle veut épouser Gilbert, ce à quoi s’oppose Georges..non mais franchement, celui-là, de quoi je me mêle !

    mon avis : toujours aussi laborieux..cette lecture me fait mal au ventre, c’est terrible. Je ne vois rien à quoi m’accrocher..il n’y a même pas un personnage pour lequel j’ai de la sympathie..au début j’avais pensé à Genevieve..avec son côté un peu coquette et rebelle mais en fait, il s’avère que c’est une bourgeoise qui consacre ses soirées à la prière...dans cette partie quand même, peut-être ce passage a pu éveiller mon intérêt quelques secondes. En dehors du contexte, elle est sans doute difficilement compréhensible.mais en étant indulgent,  je lui trouve des accents proustiens...

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  • les loups, jour après jour, page 01 à 60

    IMGP1127.JPGL’action se déroule aux alentours de la fin du XIX et se situe dans une ville portuaire normande. Le récit débute par la présentation de Maximilien Jobourg, un notable local aimant la lecture et l’oisiveté, fils de Frédéric Jobourg qui fut à la tête d’une des plus grandes entreprises de construction navales de la ville. . Il est marié à Marie-Jeanne Jobourg, une femme simple. Ensemble ils ont eu quatre enfants, Didier, Vincent et Benoit et Geneviève.
    Maximilien se fait remettre à domicile une lettre dans laquelle on lui demande de se rendre à l’hôtel Atlantique pour y rencontrer une jeune fille se nommant Valérie.
    Ensuite, on fait la connaissance de Didier, l’un des fils Jobourg. Il achète du poisson sur le port qu’il revend ensuite dans les commerces. En trainant sur le port, Didier rencontre le capitaine Durban commandant de bord du navire Châtellerault. Celui-ci l’invite à monter à bord. Didier est ravi car il rêve de voyage au long cours...”Comme il aimait cette odeur de ripolin, ces brillantes boiseries, ce petit lavabo avec l’étagère où s’insérait le carafe coiffée d’un verre ! il ne pensait plus maintenant à son poisson, à l’hôtel Atlantique..”
    Ensuite, on retourne dans l’hôtel particulier des Jobourg. Marie-Jeanne est contrariée car elle se doute que son mari lui cache quelque chose et par ailleurs, c’est un comble, elle manque d’agent de poche pour payer quelque fournisseur (car Maximilien ne lui laisse quasiment rien). C’est alors que Jenny Durban, la femme du capitaine Durban sonne. Les deux copines discutent de choses et d’autres et puis par hasard, Jenny demande à MJ ce qu’elle penserait d’un mariage entre Elisabeth, leur fille et Didier. MJ est outrée par cette idée et s’oppose.

    Ensuite, nous entrons dans l’hôtel Atlantique, une modeste maison fréquentée essentiellement par des marins et tenue par la veuve Hermeault. Maximilien Jobourg est enfermé dans une chambre en compagnie de Valérie, qu’un devine être une fille naturelle cachée. Didier arrive ensuite à l’hôtel pour y vendre son poisson. Il a maille à partir avec un client émêché mais reçoit le soutien de son père, qui, alerté par le bruit est sorti de sa chambre pour rétablir l'ordre dans la salle. Il fait ensuite rentrer son fils dans la chambre et lui présente Valérie comme une fille d’une de ses cousines germaines qui vient de mourir. Didier est sous le charme mais devine que son père lui raconte des bobards..surtout quand celui-ci, par inadvertance appelle Valérie “mon enfant”.

    Les feux de l’amour, made in Normandie!!!.
    la suite, demain peut-être pour la partie 60-100.

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  • les loups

    Je m’étais promis de lire les loups de Guy Mazeline..et bien c’est parti ! Mais c’est laborieux car ce n’est pas très intéressant...d’ailleurs, les rares critiques que j’ai pu lire ici ou sont unanimes : ce roman est repoussant au possible..mais quand même, je vais me faire violence..la littérature me donne tant de plaisir que je lui dois bien parfois quelques efforts..et puis j’ai toujours pensé que tout effort, même en matière de lecture, finit d’une façon ou d’une autre par être récompensé...des années plus tard peut-être (pour la même raison, il m'arrive de faire dix fois le tour d'un rond-point ou de laver deux fois de la vaisselle propre ou alors en tant que lecteur de relire une page que je viens de lire).
    Je réfléchissais aussi à la façon de rendre cette lecture plus agréable, plus vivante..et pourquoi pas en faisant quotidiennement sur ce blog un résumé de la partie lue...cela commence donc dès la note de suite...

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  • découvert d'un peintre

    Un seul être vous manque et tout est dépeuplé...Chloé est partie ce matin en classe de neige, emportant avec elle son incorrigible optimisme et sa bonne humeur. Lola cherche encore ses marques, Prisca erre dans la maison comme une âme en peine et moi, en regardant Arte, je découvre un peintre que j’adore : Tim Eitel...Ce qu’il fait ressemble un peu à Edward Hopper..mais en plus dépouillé encore..dans ses tableaux, des zones entières sont monochromes...les personnages sont le plus souvent seuls, captés dans un quotidien banal..ça donne des choses comme cela :

    phoca_thumb_l_Eitel-Untitled-Stufen.jpg

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  • CR196 : au bout de la digue - Charles Madézo

    CLASS03.JPGLe quidam* qui m’a offert ce livre s’est dit pressé de lire le compte rendu que je ferais de sa lecture..alors voici...mais la longueur de la note sera proportionnelle à la longueur du récit, c’est à dire courte...
    il s’agit d’un récit à la première personne d’un fils qui s’adresse à sa mère décédée pour lui dire combien elle l’a étouffé depuis le décès de son mari. Pendant les cent pages du récit, l’auteur détricote autant que faire se peut deux phrases prononcées maintes fois par sa génitrice...“je n’ai que vous. s’il vous arrive quelque chose, j’irai me jeter au bout de la digue...en posant le problème essentiellement sous l’angle de la psychanalyse...comment en est-elle arrivé à ce degré de dépendance ? Par quels méandres de l’inconscient, un vieux secret de famille (le viol de la grand-mère) peut-il détenir le clé de l’énigme...
    Mais revenons au quidam..qui m’affirma il y a quelques temps que le dernier livre qu’il avait lu était le livre de ma mère de Albert Cohen..peut-être cherche-t-il dans la littérature des réponses quant à sa relation avec sa mère..quant à moi,  j’ai perdu ma mère alors que j’avais 6 ans. Je n’ai que quelques flashs d’elle...l’une des dernières fois qu’on est allé la voir à l’hôpital avec ma soeur (de deux ans ma cadette), elle nous a offert deux petits poussins jaunes en plastique...et plus loin encore dans le passé, je m’amusais dehors avec un voisin et je vois ma mère me rejoindre pour me demander de rentrer...son visage était marqué par la douleur et la fatigue.
    La maladie nous a séparé et n’a pas laissé le temps à ma mère d’être possessive.
     
    * dans le sens : personne qu’on ne nomme pas.

    roman , paru en 1998

    liv’éditions, 100 pages

    lecture du 10/01 au 11/01/ 2011

     

  • CR195 : le seigneur des porcheries - Tristan Egolf

    seigneur-des-porcheries-Tristan-Egolf.jpgSi le seigneur des porcheries se situe dans la droite lignée des grands-romans fleuves américains (dans lequels on peut lire une histoire contrairement à une grosse partie de la production française), il reste cependant un roman singulier, qui en fait d’ailleurs pour beaucoup un roman culte...singulier de par son thème et l’environnement dans lequel se situe l’action..le style, lui, traduction oblige est plutôt banal même si Tristan Egolf a glissé dans son texte quelques expressions étranges pour désigner des groupes humains (citrons, trolls, rats de rivière..)
    J’ai eu du mal à cerner la personnalité de John Kaltenbrunner., le héros de cette histoire.et d’ailleurs, au bout des  six cent pages, on se rend compte qu’on ne sait pas grand chose de sa psychologie. et puis le personnage est paradoxal : en même temps qu’il prétend vouloir s’élever au dessus de la bêtise et de la médiocrité environnante, le fait est que lui-même est quand même rustre et bouseux dans son genre. Et à aucun moment, il n’est question de sa vie sentimentale...pas plus d’ailleurs que celles des autres personnages du roman (le seigneur des porcheries porte décidément bien son titre). Et si l’on éprouve de la sympathie pour John, c’est avant tout du fait de sa haine envers cette ville de Baker, cliché du genre de bourgades conservatrices et noyées dans l’alcool que comptent l’Amérique profonde.
    Et donc, ce qui fait la force de ce roman, et qui le rend si jubilatoire (ah, non il ne faut plus dire jubilatoire, il faut dire truculent), c’est cette vengeance ruminée, annoncée dès le départ sans qu’on en connaisse la forme..John Kaltenbrunner, humilié jusque son adolescence, invente la vengeance collective..on est tous derrière lui pour ça..car celui qui n’a pas eu ce genre d’idées envers une communauté ou un groupe humain jette la première pierre (ou le premier commentaire !).

    roman , paru en 1998

    folio n°3422, 607 pages

    lecture du 03/01 au 10/01/ 2011

    note : 4/5

  • matérialités (suite)

    J’ai failli m’étouffer ce midi en mangeant mon sandwich. J’étais branché sur france info et il était question des achats de fin d’année. Selon des statistiques bancaires, jamais les français n’ont dépensé autant (comptabilisation des demandes d’autorisation bancaire). Alors, le journaliste était surpris, lui comme les autres ne cessant de nous répéter que depuis “la crise” les français sont fauchés comme les blés..comment expliquer que malgré tout, même lorsqu’il s’agit de dépenses de seconde nécessité,  les gens consomment plus que jamais. On interroge un type, président d’une association de consommateurs..on fait d’abord les surpris..et puis au final on se met d’accord sur un point : les français n’ont jamais consommé autant..parce que c’est la crise (je schématise mais c’est ça).
    Pareil pour le secteur automobile : record de ventes en 2009 et 2010..qu’à cela ne tienne..c’est grâce à la prime à la casse (qui est finie mais dont j’étais opposé car elle ne profitait qu’à ceux qui ont les moyens d’acheter une voiture neuve (c’est à dire les riches et la classe moyenne supérieure) et ensuite, elle a foutu à la casse des bagnoles en bon état qui auraient satisfait ceux comme moi qui ne peuvent acheter que de l’occasion)).
    Sports d’hiver ! les réservations sont au beau fixe....et ben, c’est parce qu'en période “de crise”, les gens ont besoin de se changer les idées !!!
    Ah “la crise”, heureusement qu’on l’a inventée..et réinventée..A elle seule, elle explique tout, une chose et son contraire..Elle permet de nous poser en victime (du système) et de continuer à profiter de ses largesses...
    Je vais vous dire, moi quand va finir “la crise” : jamais..elle arrange trop de monde, elle ne mange pas de pain, elle explique l’inexplicable...la crise ne connait pas la crise !

  • 2010, une année de lecture

    TITRE AUTEUR PAYS ANNE DE NOTE /5



    SORTIE
    un roman français Frédéric Beigbeder FR 2009 4
    les raisins de la colère John Steinbeck USA 1939 4
    la nébuleuse du crabe Eric Chevillard FR 1993 4
    la femme parfaite Patrick Deville FR 1995 3,5
    bella ciao Eric Holder FR 2009 3,5
    la conspiration des ténèbres Théodore Roszak USA 1991 4,5
    trois contes Flaubert FR 1877 1
    la centrale Elisabeth Filhol FR 2010 3,5
    Rimbaud tel que je l'ai connu Georges Izambard FR 2010 (?) 4
    les ombres errantes Pascal Quignard FR 2002 1,5
    nuage rouge Christian Gailly FR 2000 4
    Malavita Tonino Benacquista FR 2005 3,5
    la cascade d'Enora Bernard Fauren FR 2008 3,5
    le Père Goriot Balzac FR 1835 3,5
    la princesse de Clèves Madame de La Fayette FR 1678 1
    les fiançailles de M.Hire Georges Simenon BE 1933 3,75
    Le Grand Loin Pascal Garnier FR 2010 4,5
    les hommes qui n'aimaient pas les femmes Stieg Larsson SU 2006 4,5
    les vraies richesses Jean Giono FR 1938 1
    et que le vaste monde poursuive sa course folle Colum McCann IRL 2009 2,5
    l'année de l'éveil Charles Juliet FR 1989 4,5
    d'autres vies que la mienne Emmanuel Carrère FR 2009 4,75
    les évadés Christian Gailly FR 1997 4,5
    l'horizon Patrick Modiano FR 2010 4,75
    sur la dune Christian Oster FR 2007 4,5
    dans la brume électrique James Lee Burke USA 1993 4,5
    Maigret s'amuse Georges Simenon BE 1957 4,5
    Portnoy et son complexe Philip Roth USA 1970 2,5
    j'étais derrière toi Nicolas Fargues FR 2006 4
    lambeaux Charles Juliet FR 1995 4,5
    quand souffle le vent du nord Daniel Glattauer ALL 2006 2,5
    Déluge Karen Duve ALL 1999 4
    en crabe Günter Grass ALL 2002 4,5
    Berlin Alexanderplatz Alfred Döblin ALL 1929 2,5
    l’angoisse du gardien de but au moment du pénalty Peter Handke ALL 1982 1
    l'ami étranger Christoph Hein ALL 1985 4
    la convocation Herta Muller ALL 2001 1,5
    l'année de l'amour Paul Nizon SUI 1985 3,5
    le liseur Bernhard Schlink ALL 1996 4
    la confusion des sentiments Stefan Zweig ALL 1927 3,5
    la grimace Heinrich Boll ALL 1964 4,5
    sur les falaises de marbre Ernst Jünger ALL 1939 4,5
    le conte de la pensée dernière Edgar Hilsenrath ALL 1989 4,5
    les arpenteurs du monde Daniel Kehlmann ALL 2005 1
    extinction Thomas Bernhard AUT 1986 3
    Potsdamer platz Pieke Biermann ALL 1987 0,5
    aubergiste, tu seras pendu Doris Gercke ALL 1988 3,5
    Vienne la mort Wolf Haas ALL 1998 1,5
    la carte et le territoire Michel Houellebecq FR 2010 3,5
    naissance d'un pont Maylis de Kerangal FR 2010 2,5
    incidences Philippe Djian FR 2010 3,75
    apocalypse bébé Virginie Despentes FR 2010 4
    le coeur régulier Olivier Adam FR 2010 4
    radio sauvage Alain Veinstein FR 2010 4
    l'éblouissement des bords de route Bruce Bégout FR 2004 5
    l'attrape-coeurs J.D. Salinger USA 1951 4
    le moral des ménages Eric Reinhardt FR 2002 3,5
    mort à crédit Louis-Ferdinand Céline FR 1936 4,5

    meilleure note : l'éblouissement des bords de route - Bruce Bégout : 5/5
    plus mauvaise note : postdamer platz - Pieke Biermann : 0.5/5
     
    répartition par pays : France :53% - Allemagne : 28% - USA : 9%
    répartition par sexe : hommes : 88% - femmes : 12%