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les loups, jour après jour, page 01 à 60

IMGP1127.JPGL’action se déroule aux alentours de la fin du XIX et se situe dans une ville portuaire normande. Le récit débute par la présentation de Maximilien Jobourg, un notable local aimant la lecture et l’oisiveté, fils de Frédéric Jobourg qui fut à la tête d’une des plus grandes entreprises de construction navales de la ville. . Il est marié à Marie-Jeanne Jobourg, une femme simple. Ensemble ils ont eu quatre enfants, Didier, Vincent et Benoit et Geneviève.
Maximilien se fait remettre à domicile une lettre dans laquelle on lui demande de se rendre à l’hôtel Atlantique pour y rencontrer une jeune fille se nommant Valérie.
Ensuite, on fait la connaissance de Didier, l’un des fils Jobourg. Il achète du poisson sur le port qu’il revend ensuite dans les commerces. En trainant sur le port, Didier rencontre le capitaine Durban commandant de bord du navire Châtellerault. Celui-ci l’invite à monter à bord. Didier est ravi car il rêve de voyage au long cours...”Comme il aimait cette odeur de ripolin, ces brillantes boiseries, ce petit lavabo avec l’étagère où s’insérait le carafe coiffée d’un verre ! il ne pensait plus maintenant à son poisson, à l’hôtel Atlantique..”
Ensuite, on retourne dans l’hôtel particulier des Jobourg. Marie-Jeanne est contrariée car elle se doute que son mari lui cache quelque chose et par ailleurs, c’est un comble, elle manque d’agent de poche pour payer quelque fournisseur (car Maximilien ne lui laisse quasiment rien). C’est alors que Jenny Durban, la femme du capitaine Durban sonne. Les deux copines discutent de choses et d’autres et puis par hasard, Jenny demande à MJ ce qu’elle penserait d’un mariage entre Elisabeth, leur fille et Didier. MJ est outrée par cette idée et s’oppose.

Ensuite, nous entrons dans l’hôtel Atlantique, une modeste maison fréquentée essentiellement par des marins et tenue par la veuve Hermeault. Maximilien Jobourg est enfermé dans une chambre en compagnie de Valérie, qu’un devine être une fille naturelle cachée. Didier arrive ensuite à l’hôtel pour y vendre son poisson. Il a maille à partir avec un client émêché mais reçoit le soutien de son père, qui, alerté par le bruit est sorti de sa chambre pour rétablir l'ordre dans la salle. Il fait ensuite rentrer son fils dans la chambre et lui présente Valérie comme une fille d’une de ses cousines germaines qui vient de mourir. Didier est sous le charme mais devine que son père lui raconte des bobards..surtout quand celui-ci, par inadvertance appelle Valérie “mon enfant”.

Les feux de l’amour, made in Normandie!!!.
la suite, demain peut-être pour la partie 60-100.

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