C'est le noël de la poésie. Je continue de distiller quelques extraits de mes sonnets de l'autre siècle. Ce dernier est un peu prétentieux. Je ne l'assume pas ! Je est un autre.
poèmes Loïc - Page 2
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les vieux sonnets d'un type # 3 Génie
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les vieux sonnets d'un type # 2 - le poète au cachot
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les vieux sonnets d'un type # 1- insomnie
Quelqu'un m'avait demandé de pas les jeter, de les sortir du grenier. Toutes proportions gardées, en bon rimbaldien, je dirais bien que je les renie, qu'ils sont très naïfs, que les rimes chaussent de trop gros sabots, que c'est souvent très lourdingue. Mais halte à l'auto-flagellation. Dans la quelque centaine de poèmes écrits il y a 25 ans, quelques uns méritent une existence posthume, virtuelle même (c'est à dire éternelle). Mon épouse, soupçonnant que je les jette (comme le font les poètes maudits -) suite à une conversation qu'on a eue il y a quelques jours a décidé de les ramener de Berloch ! De Berloch ! Alors, je ne demande pas forcément qu'on commente pour dire que c'est beau ou ceci cela. Je veux juste leur donner une seconde vie. C'est à prendre ou à laisser. Il faut assumer ce qu'on a fait. Je n'ai tué personne en les écrivant ! J'en distillerai un de temps en temps.
Loïc LT
De Berloch, qu'ils sont revenus, oui oui oui.