Je débute une petite série polar allemand avant de retrouver Thomas Mann pour en finir peut-être avec la Germanie qui m’occupe depuis début juillet. Cette série dans la série commence de la pire des façons avec potsdamer platz de Pieke Biermann.
Le cadre de ce polar est le Berlin-ouest du milieu des années 80, avant la chute du mur. Une critique de cinéma meurt alors qu’elle assiste à un concert de rock. De drôles d’enquêteurs enquêtent alors dans le milieu des médias, de la musique, des féministes et des prostitués. Une foultitude de personnages à peine présentés entrent alors en scène. Très vite, j’ai perdu pied et je n’ai pas non plus réussi à m’imprégner de l’atmosphère de l’époque et de l’endroit.
Pénible à lire et mal boutiqué, dans quelques jours, il ne me restera rien de ce policier écrit selon la quatrième de couverture par “la révélation majeure du roman policier allemand des années 90”.
roman , paru en 1987
traduit de l’allemand par Michèle Valencia
rivages/noir , 203 pages
lecture du 19 au 22 septembre 2010
note : 0.5/5
Commentaires
Voilà donc un départ catastrophique...
chez les allemands, j'apprécie les polar de Schenkel
Essaie plutôt les bouquins de Charlotte Link ou d'Ingrid Noll, qui sont les vraies révélations du roman allemand moderne.
Je suis la littérature allemande de très près et je n'ai jamais entendu parler de ce (cette ?) Pieke Biermann.