J'aime tellement ma dernière note que j'ai eu du mal à en faire une nouvelle. Elle va lui faire de l'ombre forcément. Mais la vie continue. Cette note n'a donc d'autre but que d'être.
Il y a une phrase de Proust que je me murmure souvent lorsque j'ai l'impression que les emmerdes s'accumulent (et comme disait Chirac "les emmerdes, ça vole toujours en escadrille"). Je vous rassure, je n'ai pas d'emmerdes, quelques ennuis peut-être mais pas plus que tout le monde.
Proust donc :
On ne connaît pas son bonheur. On n'est jamais aussi malheureux qu'on croit.
Et sinon, vous n'avez toujours pas trouvé le nom du poète inconnu (note précédente) ? J'ai glissé son nom sur un bout de papier que j'ai glissé dans la boîte illustrée d'un dessin de Martine. Concentrez-vous bien sur la boîte et de toutes vos forces, songez au mot qu'elle contient. Avec un peu de volonté, et de toute façon, la matière n'existant pas (mais je ne vais pas me répéter une énième fois) on peut voir à travers les choses.
Loïc LT
Commentaires
J'ai cru lire « Rimbaud » à travers la boite en me concentrant bien. J’ai gagné ?
Je tente ma chance : René-Guy Cadou ?
Ni l'un, ni l'autre !
Pourtant, c'est simple...j'ai donné le nom de sa commune natale. Il suffit de taper le nom de cette commune + poète sur un module qu'on appelle Google et vous avez la réponse !
Quelqu'un a trouvé et me l'a fait savoir en dehors du blog.
Elle a gagné un truc mais pour valider, il faut qu'elle donne la réponse ici. Si quelqu'un d'autre donne la réponse ici avant elle, ce quelqu'un d'autre l'emportera.
C'est le règlement.