Le ciel était rose. Au tout début, on croirait entendre un bruit de souk. Pour le reste, c'est merveilleux, onirique, métaphysique. Les adjectifs me manquent. C'est l'un des rares titres de Nathan Fake que j'aime dans sa version quasi originale. Suite à quoi, évidemment, James Holden n'a pas pu s'empêcher d'en faire ceci :